Je sus alors qu'au fond de moi-même il n'y avait plus rien qui fût debout. Ce moment fut affreux, et quand vers le matin je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie, si riante et si pleine, s'éteindre, et derrière moi s'en... Liberté d'enseignement - الصفحة 99بواسطة Théodore Combalot - 1844 - عدد الصفحات: 146عرض كامل - لمحة عن هذا الكتاب
| 1865 - عدد الصفحات: 1084
...plus rien qui fût debout. — Ce moment fut affreux, et quand, vers le matin, je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie,...venait de m'y exiler, et que j'étais tenté de maudire (1). » N'y at-il pas dans ces lignes fières et désolées quelque chose de l'inspiration d'où sont... | |
| 1842 - عدد الصفحات: 648
...plus rien qui fût debout (1). » Ce moment fut allVeux; et quand, vers le matin, je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie,...ouvrir une autre sombre et dépeuplée, où désormais j'allois vivre seul, seul avec ma fatale peusoe qui venoit de m'y exiler, et que j'étois tenté de... | |
| Pierre Leroux - 1843 - عدد الصفحات: 166
...l'admettre, je » le rejetais. Ce moment fut affreux ; et quand vers le matin je me /> jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie,...maudire. Les jours qui suivirent cette découverte fu» rent les plus tristes de ma vie. Dire de quels mouvements ils » furent agités serait trop long.... | |
| Auguste Nicolas - 1845 - عدد الصفحات: 572
...ME L'AVAIT FAIT CROIRE, JE NE POUVAIS PLUS L'AD» METTRE, JE LE REJETAIS. » Ce moment fut affreux , il me sembla sentir ma » première vie, si riante..., s'en ouvrir une autre sombre » et dépeuplée, oh désormais j'allais vivre seul, » seul avec ma fatale pensée qui venait de m'y » exiler, et que... | |
| Jean Jacques Auguste Nicolas - 1849 - عدد الصفحات: 552
...ME L'AVAIT FAIT CROIRE, JE NE POUVAIS PLUS L'ADMETTM; » JE LE REJETAIS. » Ce moment fut affreux; il me sembla sentir ma première vie, si » riante...pleine, s'éteindre, et derrière moi, s'en ouvrir une antre a sombre et dépeuplée, où désormais j'allais vivre seul, seul avec ma fa» taie pensée qui... | |
| Henri-Joseph Icard - 1853 - عدد الصفحات: 466
...» rien qui fût debout. » Ce moment fut affreux ; et quand, vers le matin, je » me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma » première vie, si riante et si pleine, s'éteindre, et s'en » ouvrir une autre sombre et dépeuplée, où désormais » j'allais vivre seul, seul avec ma... | |
| Gioacchino Ventura de Raulica - 1853 - عدد الصفحات: 840
...l'avait fait croire, je ne pou• rais plus l'admettre, je le rejetais. « Ce moment fut affreux ; il me sembla sentir ma • première vie, si riante et si pleine, s'éteindre, et der» rière moi s'en ouvrir une autre, sombre et dépouillée, • où désormais j'allais vivre seul,... | |
| Alfred François Nettement - 1854 - عدد الصفحات: 564
...plus l'admettre, je le rejetais*. Ce moment fut affreux, et quand, vers le matin, je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie,...venait de m'y exiler et que j'étais tenté de maudire. » Dans ce douloureux et dramatique récit de la mort d'une âme racontée par elle-même, tout est... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1855 - عدد الصفحات: 450
...affreux, et quand, vers le matin, je ine jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma premiète vie, si riante et si pleine, s'éteindre, et derrière...venait de m'y exiler et que j'étais tenté de maudire. . . » Si M. Mignet, qui a décrit en termes heureux le talent de l'homme, avait voulu traiter du philosophe... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1855 - عدد الصفحات: 452
...plus rien qui fût debout. « Ce moment fut affreux, et quand, vers le matin, je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie,...pleine, s'éteindre, et derrière moi s'en ouvrir une aulre sombre et dépeuplée, où désormais j'allais vivre seui, seul avec ma fatale pensée qui venait... | |
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