Je sus alors qu'au fond de moi-même il n'y avait plus rien qui fût debout. Ce moment fut affreux, et quand vers le matin je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie, si riante et si pleine, s'éteindre, et derrière moi s'en... Liberté d'enseignement - ÇáÕÝÍÉ 99ÈæÇÓØÉ [Théodore] Combalot - 1844ÚÑÖ ßÇãá - áãÍÉ Úä åÐÇ ÇáßÊÇÈ
 | Hippolyte Taine - 1868 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 377
...avait plus rien qui fût debout. 14 Ce moment fut affreux, et, quand vers le matin je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie,...cette découverte furent les plus tristes de ma vie. Dire de quels mouvements ils furent agités serait trop long. Bien que mon intelligence ne considérât... | |
 | Etienne Vacherot - 1869 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 464
...avait plus rien qui fût debout. .î Ce moment fut affreux, et quand vers le matin je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie,...cette découverte furent les plus tristes de ma vie. Dire de quels mouvements ils furent agités serait trop long. Bien que mon intelligence ne considérât... | |
 | Etienne Vacherot - 1869 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 464
...qui fût debout. » Ce moment fut affreux, et quand vers le matin je me jetai épuisé sur mon lil, il me sembla sentir ma première vie, si riante et...cette découverte furent les plus tristes de ma vie. Dire de quels mouvements ils furent agités serait Irop long. Bien que mon intelligence ne considérât... | |
 | Eugène Michaud - 1870 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 372
...avait plus rien qui fût debout. c Ce moment fut affreux, et quand, vers le matin, je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie,...cette découverte furent les plus tristes de ma vie. Dire de quels mouvements ils furent agités serait trop long. Bien que mon intelligence ne considérât... | |
 | Jean Jacques Auguste Nicolas - 1870
...PLUS L'ADMETTRE ; JE LE REJETAIS. « Ce moment fut affreux; il me sembla sentir ma pre-- « mière vie, si riante et si pleine, s'éteindre, et derrière...moi s'en ouvrir une autre sombre et dépeuplée, où dé« sonnais j'allais vivre seul, seul avec ma fatale pensée • comprendra pas, mais qui n'en est... | |
 | abbé Émile Ferdinand Xavier Castan - 1871
...plus rien qui fût debout. « Ce moment fut affreux, et, quand vers le matin » je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir » ma première vie,...et si pleine, s'éteindre, » et derrière moi s'en ouvrit une autre sombre et r> dépeuplée, où désormais j'allais vivre seul, seul » avec une fatale... | |
 | 1876
...plus rien qui fût debout. — Ce moment fut affreux, et quand, vers le matin, je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie,...venait de m'y exiler et que j'étais tenté de maudire. » !Jouffroy. — Nouveaux Mélanges, p. J4. 1 Le côté pieux et religieux de la philosophie de M.... | |
 | Alfred Nettement - 1876 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 1141
...l'admettre, je le rejetais ' . Ce moment fut affreux, et quand, vers le matin, je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie,...ouvrir une autre sombre et dépeuplée, où désormais I. Toute la phrase imprimée en italique a été supprimée dans les exemplaires mis en vente, sans... | |
 | Société d'agriculture, commerce, sciences et arts de la Marne (France) - 1880
...avait plus rien qui fut debout. Ce moment fut affreux, et quand, vers le matin, je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie,...venait de m'y exiler et que j'étais tenté de maudire (1). » Rentré aux Pontets (Doubs), son village natal, Jouffroy se sent assiégé, dans la sereine... | |
 | Daniel Bonnefon - 1880 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 498
...plus l'admettre, je le rejetais. Ce moment fut affreux, et quand, vers le matin, je me jetai épuisé sur mon lit, il me sembla sentir ma première vie,...venait de m'y exiler et que j'étais tenté de maudire. » Après deux ans de séjour à l'École normale, Jouffroy se présenta au doctorat ès-lettres. Le... | |
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