...chapitres vu et vin, De la censure et De la religion civile. Ce livre ne l'avait jamais trompé : « Il ya une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles... Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'État quiconque ne les...

...de réunir les deux têtes de l'aigle, car tout ce qui rompt l'unité sociale ne i?aot rien; il ya une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles : « c'est une sorte de déisme gallican avec la même sanction terrible que le gallicanisme...

...à venir, ce n'est pas son affaire, pourvu qu'ils soient bons citoyens dans celle-ci... Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, maiscommesentimentsdesociabilité, sans lesquels...

...grave est celle que l'on fait à la sanction que Rousseau demande dans sa conclusion pour cette « profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans...

...(I, 8) ; « la vie même du citoyen est un don conditionnel de l'Etat » (11,5) *) ; enfin « il ya une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles; il peut bannir de l'Etat quiconque ne les croit pas; que si quelqu'un, après avoir reconnu...

...à venir, ce n'est pas son affaire, pourvu qu'ils soient bons citoyens dans celui-ci. • II ya donc une profession de foi purement civile, dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans...

...communaute." <2002c> [1762a]: IV-8]. 251 Rousseau 1996 [1762a]: 151 (Übersetzung überarbeitet) [,,I1 ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas precisement comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilite, sans...

...Dei VI, 12. 11 Vgl. ebd., IV, 27. 12 Vgl. ebd., VI, 5. 13 Vgl. Rousseau (1964), S. 468: "II ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au Souverain de fixer les articles, non pas prtxisemeni comme dogmes de la weitgehend erledigt. Außer im französischen laikalen...

...la morale, et aux devoirs de celui que la professe est tenu de remplir vers autrui. [...] II y donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas precisement comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilite, sans...