...indispensable pour assurer l'observation de sa religion d'état? En aucune manière. « II ya, écrira-t-il, une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de la religion, mais comme sentiments de sociabilité...

...par l'Evangile selon saint Jean-Jacques, le Contrat social. Le texte sacré élait formel : « II ya une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans...

...bon ordre et que c'était là une affaire de police. Dans le Contrat social, il est explicite : « Il ya, dit-il, une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogme de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans...

...brûler Servct (mais Calvin vivait au seizième siècle), avait écrit dans le Contrat social: « Il ya une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans...

...les mœurs, que Jean-Jacques Rousseau lui-même s'exprime ainsi dans son Contrat social: • II ya une profession de foi purement civile, dont il appartient. > au souverain de fixer les articles sans lesquels il est impossible d'être En France les Huguenots mirent, aussi eux, largement...

...individuelles. Or, telle est bien la pensée de Rousseau ; qu'on en juge par ses propres paroles : « Il ya une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, sans pouvoir obliger personne à les croire ; il peut bannir de l'Etat quiconque ne les croit...

...Philosophie à la Faculté des Lettres de Lgon (1) Contrat social, liv. IV. en. vIIt. « II yn donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles.... ljue si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme...

...car il est du devoir du citoyen d'admettre le dogme et le culte établis par le souverain. « II ya une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas 1. L. il, ch. 4. 2. L. 1, ch.7. précisément comme dogmes de religion, mais comme...

...« il importe à l'État que chaque citoyen ait une religion qui lui fasse aimer ses devoirs, il ya une profession de foi purement civile, dont il appartient au souverain de fixer les, articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans...

...chapitres vil et vm, De la censure et De la religion civile. Ce livre ne l'avait jamais trompé : « Il ya une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles... Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'État quiconque ne les...