Où, sous la main du Christ, tout venait de renaître; Où le palais du prince et la maison du prêtre, Portant la même croix sur leur front radieux, Sortaient de la montagne en regardant les cieux; Où Cologne et Strasbourg, Notre-Dame et Saint-Pierre... Poésies complètes de Alfred de Musset - الصفحة 290بواسطة Alfred de Musset - 1849 - عدد الصفحات: 419عرض كامل - لمحة عن هذا الكتاب
| Georges Pellissier - 1922 - عدد الصفحات: 584
...en regardant les cienx ; Où Cologne et Stras bourg, Notre-Dame et Saint-Pierre, S'agenouillant au loin dans leurs robes de pierre, Sur l'orgue universel...temps où se faisait tout ce qu'a dit l'histoire; Oi'i sur Ics saints autels les crucifix d'ivoire Ouvraient des bras sans tache et blancs comme le lait... | |
| Étienne Martin Saint-Léon - 1922 - عدد الصفحات: 912
...Christ tout venait de renaître; Où Cologne et Strasbourg, Notre-Dame et Saint-Pierre S'agenouillant au loin dans leurs robes de pierre, Sur l'orgue universel...prosternés Entonnaient l'hosanna des siècles nouveau-nés. t. Dans son curieux Dictionnaire, Jean de Garlande, — qui d'aprèi son premier éditeur, H. GÉRAUD... | |
| Alfred de Musset - 1923 - عدد الصفحات: 436
...montagne en regardant les cieux; Où Cologne et Strasbourg, Notre-Dame et Saint-Pierre S'agenouillant au loin dans leurs robes de pierre, Sur l'orgue universel...Christ! je ne suis pas de ceux que la prière Dans tes temples muets amène à pas tremblants; Je ne suis pas de ceux qui vont à ton Calvaire, En se... | |
| Société de linguistique de Paris - 1923 - عدد الصفحات: 526
...montagne en regardant les cieux ; Où Cologne et Strasbourg, Notre-Dame et Saint-Pierre, S'agenouillant au loin dans leurs robes de pierre, Sur l'orgue universel des peuples prosternés Pitonnaient l'hosanna des siècles nouveau-né* ; Le temps où se faisait tout ce qu'a dit l'histoire... | |
| Henri Beaudé - 1927 - عدد الصفحات: 232
...chante en vers magnifiques Le temps où se faisait tout ce que dit l'histoire, Où, sur les blancs autels, les crucifix d'ivoire Ouvraient des bras sans...lait, Où la vie était jeune, où la mort espérait. . . II verse des regrets touchants sur le passé disparu, il couvre de fleurs les œuvres de beauté... | |
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