...« Je ne pensais pas, s'écrie le précurseur des Obcrmann, des René, des Jocelyn, je ne raisonnais pas, je me sentais avec une sorte de volupté accablé...à la confusion de ces grandes idées, j'aimais à mo perdre en imagination dans l'espace... J'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans...

...à l'Être incompréhensible qui embrasse tout. Alors, l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensais pas, je ne raisonnais pas, je ne philosophais...l'étroit; j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m' élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me...

...Malesherbes : • Mais de quoi jouissais-je enfin quand j'étais seul ? de moi, de l'univers entier... j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace...j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini.» L'infini ! qu'on se rappelle le mot de Lamartine dans sa lettre à Virieu, du 11 octobre...

...dans cette immensité, je ne pensois pas, je ne raisonnois pas, je ne philosophois pas ; je me sentois avec une sorte de volupté accablé du poids de cet univers, je me livrois avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimois à me perdre en imagination...

...dans cette immensité, je ne pensois pas, je ne raisonnois pas, je ne philosophois pas; je me sentois avec une sorte de volupté accablé du poids de cet univers, je me lii'rois avec ravissement a In confusion de ces grandes idées, j'aimois à me perdre en imagination...