Quand une bonne disgrâce a cuvé son orgueil, je lui dirais... que les sottises imprimées n'ont d'importance qu'aux lieux où l'on en gêne le cours ; que, sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur ; et qu'il n'ya que les petits... Théâtre complet de Beaumarchais: La folle journée; ou, Le mariage de Figaro - الصفحة 27 بواسطة Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1870 عرض كامل -
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