Ulric, nul œil des mers n'a mesuré l'abîme, Ni les hérons plongeurs, ni les vieux matelots. Le soleil vient briser ses rayons sur leur cime, Comme un soldat vaincu brise ses javelots. Ainsi, nul oeil, Ulric, n'a pénétré les ondes De tes douleurs... Premières poésies de Alfred de Musset--1829-1835-- - الصفحة 93 بواسطة Alfred de Musset - 1859 - عدد الصفحات: 356 عرض كامل -
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