...provinciale* qui paraissaient alors, étaient un modèle d'éloquence et de plaisanterie. 11 c .si vrai que tout le livre portait sur un fondement faux. On attribuait adroitement à toute la Société les opinions extravagantes de plusieurs jisuites espagnols et flamands... On tâchait dans ce» lettres...

...Voltaire se prononce ailleurs avec une égale vivacité contre le dessein et le but des Provinciales. « Tout le livre portait sur un fondement faux. On attribuait...déterrées aussi bien chez des casuistes Dominicains et Fransciscains : mais c'était aux seuls Jésuites qu'on en voulait. On tâchait dans ces lettres de...

...graves, Voltaire n'hésitait pas à l'attester. « Tout le livre des Provinciales, observe- t-il , portait sur un fondement faux. On attribuait adroitement à toute la Société les opinions extravagantes de plusieurs Jésuites Espagnols et Flamands. On les aurait déterrées...

...graves, Voltaire n'hésitait pas à l'attester. « Tout le livre des Provinciales, observe- t-il , portait sur un fondement faux. On attribuait adroitement à toute la Société les opinions extravagantes de plusieurs Jésuites Espagnols et Flamands. On les aurait déterrées...

...Provinciales comme un chef-d'œuvre, il ajoute tout à coup d'un ton dégagé : « 11 est vrai que tout le livre portait sur un fondement faux. On attribuait...déterrées aussi bien chez des casuistes dominicains ou franciscains ; mais c'était aux seuls jésuites qu'on en voulait. On tâchait dans ces Lettres...

...premières Lettres provinciales : Bossuet n'a rien de plus sublime que les dernières. Il est vrai que tout le livre portait sur un fondement faux. On attribuait...les aurait déterrées aussi bien chez des casuistes PASCAL ENFANT. (D.après un dessin original de Domat re11ouvê dans un Corpus jni-is de sa bibliothèque,...

...de les (les Jésuites) rendre odieux. Pascal fit plus , il les rendit ridicules ... Il est vrai que tout le livre portait sur un fondement faux. On attribuait adroitement à toute la société les opinions extravagantes de plusieurs jésuites espagnols et flamands. On les aurait déterrées...

...met son génie au service de la foi ! « Tout le livre, dit Voltaire, dans le Siècle de Louis XIV, tout le livre portait sur un fondement faux. On attribuait adroitement à toute la Société les opinions extravagantes de plusieurs Jésuites espagnols et flamands. On les aurait déterrées...

...; et c'est là un autre tort. « On attribuait adroitement à toute la société, observe Voltaire, des opinions extravagantes de plusieurs jésuites...déterrées aussi bien chez des casuistes dominicains ou franciscains, mais c'était aux seuls jésuites qu'on en voulait2. » Cette manière de voir est...

...Les Lettres provinciales étaient un modèle d'éloquence et de plaisanterie. Il est vrai que tout ce livre portait sur un fondement faux. On attribuait adroitement à toute la société les opinions extravagantes de quelques jésuites espagnols et flamands. On les aurait déterrées aussi...