...écrivain ne reçut un plus bel éloge d'un juge plus compétent. Mais il ajoute : « II est vrai que tout le livre portait sur un fondement faux. On attribuait adroitement à toute la société les opinions extravagantes de plusieurs jésuites espagnols et flamands. On les aurait déterrées...

...écrivain ne reçut un plus bel éloge d'un juge plus compétent. Mais il ajoute : « II est vrai que tout le livre portait sur un fondement faux. On attribuait adroitement à toute la société les opinions extravagantes de plusieurs jésuites espagnols et flamands. On les aurait déterrées...

...reçut un plus bel éloge d'un juge plus compétent. Mais il ajoute : « il est vrai que tout le hvre portait sur un fondement faux. On attribuait adroitement à toute la société les opinions extravagantes de plusieurs jésuites espagnols et flamands. On les aurait déterrées...

...s'exprime ainsi à ce sujet dans le Siècle de Louis XIV: « On attribuait adroitement à la société les opinions extravagantes de plusieurs jésuites espagnols...et flamands; on les aurait déterrées aussi bien dans les casuistes dominicains ou franciscains, mais c'était aux seuls jésuites qu'on en voulait....

...pnr peu de personnes, bien que tout le monde en parlât (l). (l) « Tout le livre des Provinciales portait sur un fondement faux. On attribuait adroitement à toute la société les opinions extravagantes de plusieurs jésuites espagnols et flamands. On les aurait déterrées...

...un fondement faux. On attribuait » adroitement à toute la Société les opinions ex» travagantes de plusieurs Jésuites espagnols et » flamands. On...franciscains; » mais c'était aux seuls Jésuites qu'on en vou» lait '. » Et Schœl , que son protestantisme ne doit pas faire soupçonner de partialité en...

...Provinciales. C'est encore un point qu'a reconnu Voltaire : « Le livre des Provinciales, dit-il, » portait sur un fondement faux. On attribuait » adroitement à toute la Société les opinions ex» travagantes de plusieurs Jésuites espagnols et » flamands. On les aurait déterrées...

...portait sur un fondement faux. On attribuait adroite514 INTRODUCTION A LA CINQUIÈME PROVINCIALE. « ment à toute la Société des opinions extravagantes de...« franciscains ; mais c'était aux seuls Jésuites qu'où en « voulait ('). » EtSchœll, que son protestantisme ne doit pas faire soupçonner de partialité...

...premières lettres provinciales : Bossuet n'a rien de plus sublime que les dernières. Il est vrai que tout le livre portait sur un fondement faux; on attribuait adroitement à toute la société les opinions extravagantes de plusieurs jésuites espagnols et flamands : on les aurait déterrées...

...sublime que les dernières. H est vrai que tout le livre portail sur un fondement faux. On altrihuail adroitement à toute la société des opinions extravagantes...déterrées aussi bien chez des casuistes dominicains el franciscains; mais de fhhloirede Port-Royal, Cologne, 1770, p-ig. 78. (1) Le rédacteur des Nouvel.es...