 | Pierre Victor Jean Berthre de Bournisseaux - 1830 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 492
...l'assemblée nationale... Les mouvements de votre cœur, sire, voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts, que...la capitale est investie, nous nous demandons avec ëtonnement : Le roi s'est-il méfié de la fidélité de ses peuples? S'il avait pu en douter, n'auraitil... | |
 | Etienne Dumont - 1832 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 390
...lui-même sans obstacle. i> Les mouvemens de votre cœur, Sire , voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts , que...S'il avait pu en douter, n'aurait-il pas versé dans nos cœurs ses chagrins paternels? Que veut dire cet appareil menaçant? où sont les ennemis de l'état... | |
 | Etienne Dumont - 1832 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 626
...lui-même sans obstacle. « Les mouvemens de votre cœur , Sire , voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts , que...investie, nous nous demandons avec étonnement: — Le roi s'est-ilméûé de la fidélité de ses peuples? S'il avait pu en douter, n'aurait-il pas versé dans... | |
 | Etienne Dumont - 1832 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 548
...lui-même sans obstacle. « Les mouvemens de votre cœur , Sire , voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts , que...autour de nous, que la capitale est investie, nous nousdemandonsavecétonneinent: — Le roi s'est-il méfié de la fidélité de ses peuples? S'il avait... | |
 | Dumont, Pierre Étienne L. Dumont - 1832 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 554
...camps se forment autour de nous, que la capitale est investie, nous nousdemandonsavecétonnement: — Le roi s'est-il méfié de la fidélité de ses peuples?...S'il avait pu en douter, n'aurait-il pas versé dans nos cœurs ses chagrins paternels ? Que veut dire -cet appareil menacaul ? où sout 1rs ennemis de... | |
 | Etienne Dumont - 1832 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 548
...capitale est investie, nous nousdemandonsavecétonnement: — Le roi s'est-il méfié de laûdélité de ses peuples? S'il avait pu en douter, n'aurait-il pas versé dans nos cœurs ses chagrins paternels ? Que veut dire cet appareil mena-caut ? où soût les ennemis de... | |
 | Pierre-François Tissot - 1835 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 504
...marcher lui-même sans obstacle. « Les mouvemens de votre cœur, sire , voilà le salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts , que...dire cet appareil menaçant? Où sont les ennemis du roi et de l'état qu'il faut subjuguer ? Où sont les rebelles , les ligueurs qu'il faut réduire?.... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1834 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 1004
...camps se forment autour de nous , que la capitale est investie, nous nous demandons avec étonnemenl : Le roi s'est-il méfié de la fidélité de ses peuples?...dire cet appareil menaçant? Où sont les ennemis de l'Etat et du roi qu'il faut subjuguer? Où sont les rebelles , les ligueurs qu'il faut réduire ?...... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1834 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 502
...marcher lui-même sans obstacle. Les mouvemens de votre cœur, sire, voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts , que...la capitale est investie, nous nous demandons avec étonnemeut : Le roi s'est-il méfié de la fidélité de ses peuples? S'il avait pu en douter, n'aurait-il... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1834 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 1028
...marcher lui-même sans obstacle. Les mouvemens de votre cœur, sire, voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts, que...la capitale est investie, nous nous demandons avec élonnemcnt : Le roi s'est-il méfié de la fidélité de ses peuples? S'il avait pu en douter, n'aurait-il... | |
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Les mouvemens de votre cœur, Sire, voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts, que des camps se forment autour de nous, que la capitale est investie, nous nous demandons avec étonnement : le roi s'est-il méfié... 
