...j'en étais à craindre la défaillance; mon cœur, dilaté à l'excès, ne trouvait plus d'espace à s'étendre. La violence que je me faisais pour ne...victime, j'y avais servi de triomphe aux bâtards à plusieurs fois ( 10), les degrés divers par lesquels ils étaient montés à ce comble sur nos...

...ne rien laisser échapper étoit infinie, et néanmoins ce tourment étoit délicieux. Je comparois les années et les temps de servitude, les jours funestes où, traîné au parlement en victime, j'y avois servi de triomphe aux bâtards à plusieurs fois, les degrés divers par lesquels ils étoient...

...J'en étais à craindre la défaillance; mon cœur dilaté à l'excès ne trouvait plus d'espace à s'étendre. La violence que je me faisais pour ne...victime, j'y avais servi de triomphe aux bâtards à plusieurs fois, les degrés divers par lesquels ils avaient monté à ce comble sur nos têtes ;...

...j'en étais à craindre la défaillance; mon cœur, dilaté à l'excès, ne trouvait plus d'espace à s'étendre. La violence que je me faisais pour ne...années et les temps de servitude, les jours funestes. . . (VII, p. 263) L'énergie est là en élixir, à son maximum de concentration — tout en puissance...

...contraire de la contrainte, de la violence qu'il se fait pour retenir ses émotions et son plaisir. « La violence que je me faisais pour ne rien laisser...infinie, et néanmoins ce tourment était délicieux » (VII, 263). L'autocensure ne correspond en rien ici à des interdits extérieurs qui viendraient...

...j'en étais à craindre la défaillance : mon cœur, dilaté à l'excès, ne trouvait plus d'espace à s'étendre. La violence que je me faisais pour ne...infinie, et néanmoins ce tourment était délicieux. Je triomphais, je me vengeais, je nageais dans ma vengeance ; je jouissais du plein accomplissement des...

...violence que je me faisois pour ne rien laisser échapper étoit infinie, et néanmoins ce tourment étoit délicieux. Je comparais les années et les temps...funestes où, traîné au Parlement en victime, j'y avois servi de triomphe aux bâtards à plusieurs fois, les degrés divers par lesquels ils étoient...

...ne rien laisser échapper, étoit infinie; etnéanmoins, cetourrnent étoit délicieux. Je comparois les .années et les temps de servitude, les jours...funestes, où , traîné au parlement en victime, j'y avois servi de triomphe aux bâtards; je les comparois, dis-je, à ce jour de justice et de règle,...

...J'en étais à craindre la défaillance ; mon cœur, dilaté à l'excès, ne trouvait plus d'espace à s'étendre. La violence que je me faisais pour ne rien laisser échapper était infinie, etnéan . moins ce tourment était délicieux.... Je triomphais, je me vengeais, je nageais dans ma...