...parfaitement d'accord avec la bonté de son âme. Madame Sophie était d'une rare laideur... On assurait qu'elle montrait de l'esprit, et même de l'amabilité...mais elle lisait seule ; la présence d'une lectrice l'eut infiniment gênée. » Madame Louise, celle qui se fit religieuse à Saint-Denis, était plus...

...regarder, les gens qui se rangeaient sur son passage, elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était...de l'amabilité dans la société de quelques dames proférées ; elle s'instruisait beaucoup, mais elle lisait seule; la présence d'une lectrice l'eût...

...regarder les gens qui se rangeaient sur son passage, elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était...années, sans l'entendre prononcer un seul mot... Il y avait pourtant des occasions où cette princesse si sauvage devenait tout à coup affable, gracieuse,...

...d'accord avec la bonté de son âme1 ». Quant à Madame Sophie, elle « était d'une rare laideur et d'une si grande timidité qu'il était possible de...jours pendant des années sans l'entendre prononcer un mot* ». Madame Victoire et Madame Sophie étaient sous la domination absolue de leur sœur aînée-....

...regarder, les gens qui se rangeaient sur son passage, elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres. Cette princesse était...pendant des années, sans l'entendre prononcer un seul mol. On assurait cependant qu'elle montrait de l'esprit et même de l'amabilité dans la société...

...se rangeaient sur son « passage, elle .avait pris l'habitude de voir de côté, à la ma« nière des lièvres. Cette princesse était d'une si .grande...timidité qu'il était possible de la voir tous les jours, pen« dant des années, sans l'entendre prononcer un seul mot.... « II y avait pourtant des occasions...

...effarouché;.... elle avait pris l'habitude de voir de côté » à la manière des lièvres. Elle était d'une si grande timidité qu'il était possible...pendant des années, sans l'entendre prononcer un » mot. » « Pour la tante Sophie, porte la lettre apocryphe de Marie-Antoinette, » elle restera...