...offrir, ni une inclination prononcée pour ses sortes d',étudcs qui me décidèrent à m'y livrer. " Né de parents pieux, et dans un pays où la foi catholique...bonne heure à considérer l'avenir de l'homme et le bien de son âme comme la plus grande affaire de sa vie, et toute la suite de mon éducation avait...

...l'histoire et la philosophie, lorsque, vers 1818, la crise éclata. Il avait alors vingt-deux ans. « Né de parents pieux et dans un pays où la foi catholique...considérer l'avenir de l'homme et le soin de son âme comme la grande affaire de la vie, et toute la suite de mon éducation avait contribué à fortifier...

...disposition était le trait saillant de son caractère. « Né de parents pieux, dit-il quelque part, et dans un pays où la foi catholique était encore pleine de vie au commencement du siècle, j'avais été accoutumé de bonne heure*à considérer l'avenir de l'homme et le soin de...

...l'histoire et la philosophie, lorsque, vers 1818, la crise éclata. Il avait alors vin'-t-dcux ans. a Né de parents pieux et dans un pays où la foi catholique...considérer l'avenir de l'homme et le soin de son âme comme la grande affaire de la vie, et toute la suite de mon éducation avait contribué à fortifier...

...sortes d'études, qui me décidèrent à m'y livrer. Je fus amené à la philosophie par une autre voie. Né de parents pieux, et dans un pays où la foi catholique était encore pleine d« vie au commencement de ce siècle, j'avais été accoutumé de bonne heure à considérer l'avenir...

...livrer. Je fus amené à la philosophie par une autre voie. Né de parents pieux, et dans un pays oà la foi catholique était encore pleine de vie au commencement...ce siècle, j'avais été accoutumé de bonne heure a considérer l'avenir de l'homme et le soin de son ûme comme la grande affaire de la vie, et toute...