...protestation spontanée et énergique ('). En effet, leur réponse aux envoyés d'Edouard fut celle-ci : « que ils auroient plus cher à » endurer et porter encore le grand meschef et mi» sère où ils étoient, que le noble royaume de France » fut ainsi amoindri et deffraudé ; et...

...Froissart, auteur français du temps, là furent les lettres lues et relues, et bien ouïes et entendues, et de point en point considérées et examinées ;...dur, et répondirent d'une voix auxdits messagers, qu'ils auraient plus cher à endurer -et porter encore le grand meschef et misère où ils étaient...

...« Si ne pnrcnt donc être les conseils en général du royaume de France d'accord, dit Froissard, et répondirent d'une voix auxdits messagers que ils...auroient plus cher à endurer et porter encore le grand meschcr et misère où ils étoient, que le noble royaume de France fût ainsi amoindri ni deflbndé...

...général. « Là furent, dit » Froissart, les lettres lues et relues, cl bien ouïes et entendues, et de » point en point considérées et examinées,...répondirent d'une voix auxdits messagers, que ils suroient » plus cher à endurer et porter encore le grand meschef et misère où » étoient, que...

...traité. « Là furent, dit Froissard , les lettres lues et relues et bien ouïes et entendues , el de point en point considérées et examinées; et...sembla ce traité trop dur, et répondirent d'une voix auxdils messagers, que ils auroient plus cher à endurer et porter encprf le grand meschef et misère...

...point considérées et examinées , leur sembla ce traité trop dur , et répondirent d'une voix aux messagers que ils auroient plus cher à endurer et porter encore le grand méchef et misère où ils étoient , que le noble royaume de France fût ainsi amoindri et défraudé...

...Froissart, auteur français du temps, là furent les lettres lues et relues, et bien ouïes et entendues, et de point en point considérées et examinées ;...dur, et répondirent d'une voix auxdits messagers, qu'ils auraient plus cher à endurer et porter encore le grand meschef et misère où ils étaient,...

...examinées, leur sembla ce traité trop dur, et répondirent d'une voix aux messagers qu'ils auraient plus cher à endurer et porter encore le grand meschef et misère où ils étaient, que le noble royaume de France fût amoindri et défraudé ; que le roi Jean demeurât...

...examinées, leur sembla ce traité trop dur, et répondirent d'une voix aux messagers qu'ils aufoient plus cher à endurer et porter encore le grand meschef et misère où ils étoient, que le noble royaume de France fût amoindri et défraudé; que le roi Jean demeurât...

...avec un patriotisme plein de fierté. « Et répondirent d'une voix auxdits messagers que ils auraient •plus cher à endurer et porter encore le grand meschef et misère où ils étoient, que le royaume de France fût ainsi amoindri ni dett'raudé, et que le roi Jean demeurât...