...soumise aux suffrages libres du peuple» (II, 7). Au surplus, « il n'ya ni ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le contrat social » (I, 7). Quant au «gouvernement», «l'acte par lequel un peuple se soumet à des chefs (magistrats...

...souverain s'impose une loi qu'il ne puisse enfreindre, qu'il n'y a ni ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le Contrat social ». 11 justifie cette proposition par un étrange sophisme : « Quiconque, dit-il, refusera...

...particulier contractant avec soi-même ; par où l'on voit qu'il n'ya ni ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le contrat social. Ce qui ne signifie pas que ce corps ne puisse 'fort bien s'engager envers autrui, en ce qui...

...anéantir toute loi ; ils en ont absolument le droit et la puissance. « II ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le pacte social (*). » On voudrait proclamer « dos droits et des devoirs antérieurs à la société...

...une loi qu'il ne puisse enfreindre : par où l'on voit qu'il n'ya ni ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le contrat social3. » De telles théories flattaient trop les passions d'une société amollie et corrompue,...

...idée : III, 15. 4. ROUSSEAU, I, 7 : « Par où on voit qu'il n'ya ou ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le contrat social » ; — II, 12 : « D'ailleurs, en tout état de cause, un peuple est toujours le maître de...

...particulier contractant avec soi-même; par où l'on voit qu'il n'y a. ni ne peut y avoir, nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le contrat social. » dépendent toujours du souverain, lequel, dans la théorie de Rousseau, n'est autre que...

...particulier contractant avec soi-même : « Par où l'on voit qu'il n'ya ni ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le contrat social. » Voilà donc le souverain absolument libre de se dédire, puisque sa volonté est à ce point...

...considérée comme légitime. tractant avec soi-même, par où l'on voit qu'il ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le Contrat social (L. I, ch. II). Nous avons déjà répondu à' cette question au cours d'un précédent chapitre....

...indivisibilité ses intérêts les intérêts particuliers voit qu'il n'ya ni ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le contrat social. Ce qui ne signifie pas que ce corps ne puisse fort bien s'engager envers autrui, en ce qui...