| 1864 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 706
...religion, le citoyen de Genève renchérit même sur l'aigle de Meaux. « II y H, dit-il, une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, sans pouvoir obliger les personnes à les croire; il faut bannir de l'Etat quiconque ne les croit pas,... | |
| Lucien Anatole Prévost-Paradol - 1865 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 464
...membres, ce pouvoir absolu qu'elle avait ravi à la royauté. « II ya, dit Rousseau, une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est... | |
| Émile Jacques Armand Beaussire - 1866 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 540
...determinari débet, quœque adeo ejus interpretes debent esse.— Ibid., c. 19. '«Il ya donc une profession de foi purement civile, dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes religieux, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible... | |
| François Laurent - 1867 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 614
...détruiraient toute liberté de penser si on les prenait au sérieux. « Il ya, dit-il, une profession de foi purement civile, dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité. Sans pouvoir obliger... | |
| Jules-Romain Barni - 1867 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 512
...mais a porté ses fruits dans la pratique. Suivant l'auteur du Contrat social, « il ya une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est... | |
| Jules Romain Barni - 1867 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 528
...mais a porté ses fruits dans la pratique. Suivant l'auteur du Contrat social, « il ya une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est... | |
| 1867 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 1088
...Jean-Jacques Houssean lui-même s'exprime uinsi dans son L'ouïrai social : * 11 ya une profession de foi purement civile, dont il appartient • au souverain de fixer les articles sans lesquels il est impossible d'être En France les Huguenots mirent, aussi eux, largement en pratique... | |
| Arthur La Broderie, Émile Grimaud - 1867 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 516
...que Jean-Jacques Rousseau lui-même s'exprime ainsi dans son Contrat social : « II ya une profession de foi purement civile, dont il appartient • au souverain de fixer les articles sans lesquels il est impossible d'être • bon citoyen ni sujet fidèle. Sans pouvoir obliger personne... | |
| Antonin Roche - 1868 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 360
...qui fait la justice. C'est aussi l'État qui fait la religion. « Il ya, dit Rousseau, une profession de foi purement civile, dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est... | |
| 1873 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 614
...citoyen d'admettre le dogme et de suivre le culte prescrits par la loi.. (236) II ya une profession de foi purement civile, dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est... | |
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