...parti dont il est susceptible : permettez-moi de le remettre sous vos yeux. « II ya une profession de foi , purement civile , » dont il appartient au souverain de fixer les arti» clés , non pas précisément comme dogmes de » religion, mais comme sentimens de sociabilité,...

...n'intéressent l'Etat ni ses membres, qu'autant » qu'ils se rappo rtent à la société. Il ya une profession de » foi purement civile, dont il appartient au souverain de » fixer les articles , non pas précisément comme dogmes » de religion , mais comme sentimens de sociabilité, sans » lesquels...

...autres. » Ce n'est pas là réduire les fidèles au théisme. [Rousseau ajoute : « II ya une profession de foi purement civile , dont il appartient au souverain de fixer les articles, sans pouvoir obliger personne à les croire. ( Ce n'est pas imposer le déisme sous peine de mort....

...devoirs que celui qui la professe • est tenu de remplir envers autrui... Il ya donc une profession • de foi purement civile, dont il appartient au souverain de fixer • les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, • mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il...

...doctrine qu'enseigne l'auteur du Contrai social : «cil ya, dit-il, une profession de foi purement i' civile , dont il appartient au souverain, de fixer Les articles , » non pas précisément comme dogmes de la religion , mais » comme sentiments de sociabilité , sans lesquels...

...institutions humaines, des causes physiques et morales qui les produisent, et des effets qui en fession île foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas prccisement comme dogmes de religion , mais comme sentimens de sociabilité, sans lesquels il est impossibln...

...ce n'est pas son affaire , pourvu qu'il soient bons citoyens dans celle-ci. H ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles , non pas précisément comme dogmes de religion , mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est...

...d'aboutir à une rupture. « II ya, dit Rousseau [Contrat social, Livre IV, ch. 8], une profession .de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentimens de sociabilité sans lesquels il est impossible...

...prétextes à toutes les prétentions de la tyrannie. « II ya , dit-il , une profession, de foi pure» ment civile , dont il appartient au souverain » de fixer les articles , non pas précisément com» me dogme de religion, mais comme seutimens » de sociabilité. Sans pouvoir obliger...

...que n'en firent ceux du Vicaire Savoyard. Dans son Contrat social il se déclare pour une profession de foi purement civile, dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentimens de sociabilité*. C'est là la doctrine...