| Jean-Jacques Rousseau - 1921 - عدد الصفحات: 420
...rapport avec notre nature et qui la connût à 20 fond; dont le bonheur fût indépendant de nous, et qui pourtant voulût bien s'occuper du nôtre; enfin qui, dans le progrès des temps, se ménageant une gloire éloignée, pût travailler dans un siècle et jouir dans un autre.1 Il faudrait... | |
| Philippe Gérard, François Ost, Michel Van de Kerchove - 1987 - عدد الصفحات: 750
...rapport avec notre nature et qui la connût à fond, dont le bonheur fût indépendant du nôtre et qui pourtant voulût bien s'occuper du nôtre ; enfin qui, dans le progrès du temps se ménageant une place éloignée, pût travailler dans un siècle et jouir dans un autre"... | |
| 2003 - عدد الصفحات: 206
...les passions des hommes et qui n'en éprouvât aucune, qui n'eût aucun rapport avec notre nature et qui la connût à fond, dont le bonheur fût indépendant de nous et qui pourtant voulût bien s'occuper du nôtre, enfin qui, dans le progrès des temps, se ménageant... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu, Henri Joly - 1900 - عدد الصفحات: 156
...vît toutes les passions et qui n'en éprouvât aucune ; qui n'eût aucun rapport avec notre nature et qui la connût à fond; dont le bonheur fût indépendant de nous , et qui pourtant voulût bien s'occuper du nôtre ; enfin qui , dans le progrès des temps, se ménageant... | |
| عدد الصفحات: 598
...passions des hommes, et qui n'en éprouvât aucune ; qui n'eût aucun rapport avec notre nature, et qui la connût à fond ; dont le bonheur fût indépendant de nous, et qui pourtant voulût bien s'occuper du nôtre ; enfin, qui, dans le progrès des temps se ménageant... | |
| 1912 - عدد الصفحات: 870
...toutes les passions, et qui n'en éprouvât aucune; qui n'eût aucun rapport avec notre nature; et qui la connût à fond ; dont le bonheur fût indépendant de nous, et qui pourtant voulût bien s'occuper du nôtre...; il faudrait des dieux pour donner des lois aux... | |
| 1940 - عدد الصفحات: 43
...les passions des hommes et qui n'en éprouvât aucune ; qui n'eût aucun rapport avec notre nature et qui la connût à fond ; dont le bonheur fût indépendant de nous et qui pourtant voulût bien s'occuper du nôtre ; enfin, qui, dans le progrès des tems se ménageant... | |
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