...Prendre le temps du laboureur, même en le payant, seroit l'équivalent d'un impôt; prendre son temps, sans le payer, est un double impôt, et cet impôt...qui n'a pour subsister que le travail de ses bras. » « Art. \er - ll ne sera plus exigé de nos sujets aucun travail gratuit ni forcé, sous le nom...

...Prendre le temps du laboureur, même en le payant, seroit l'équivalent d'un impôt; prendre son temps, sans le payer, est un double impôt, et cet impôt...langueur et sans intérêt; il fait dans le même temps moins d'ouvrage, et son ouvr.nge est plus mal fait. Les corvoyeurs , obligés de faire souvent...

...Prendre le temps du laboureur, même en le payant, serait l'équivalent d'un impôt. Prendre son temps sans le payer est un double impôt; et cet impôt...qui n'a pour subsister que le travail de ses bras W. » Elle était lourde aussi parce que les travaux, qu'elle imposait aux corvoyeurs, étaient souvent...

...alors même qu'on lui paierait ses journées; mais elles ne lui sont pas payées; il supporte donc « un double impôt et cet impôt est hors de toute proportion,...subsister que le travail de ses bras ». L'homme qui n'est pas stimulé par l'aiguillon de l'intérêt agit sans conviction et sans ardeur; il fait moins...

...laboureur, même en le payant, écrit le ministre, serait l'équivalent d'un impôt. Prendre son temps sans le payer est un double impôt ; et cet impôt...tombe sur le simple journalier, qui n'a pour subsister aue le travail de ses bras. L'homme qui travaille par force et sans récompense travaille avec langueur...

...faisait foi de ces sentimens. Il affectait une forme dogmatique qui en accentuait l'importance : « L'homme qui travaille par force et sans récompense travaille avec langueur et sans intérêt; son ouvrage est mal fait. Un pareil ouvrage coûte plus cher au peuple et à l'État qu'il ne coûterait...