...regardaient les droits antiques et constitutionnels des trois ordres : t Si vous m'abandonnez, ajoutait-il, seul je ferai le bien de mes peuples, seul je me considérerai comme leur véritable représentant. » II sortit en ordonnant aux ordres de se retirer dans leurs salles respectives. Les deux premiers...

...dispositions et de mes vues : elles sont conformes au vif désir qui j'ai d'opérer le bien public ; et si par une fatalité loin de ma pensée, vous m'abandonniez...entreprise seul je ferai le bien de mes peuples, seul je me considérai comme leur véritable représentant ; et connoissant vos cahiers, connoissant l'accord...

...mes vues, elles sont conformes au vif « désir que j'ai d'opérer le bien public, et si, par une ci fatalité loin de ma pensée, vous m'abandonniez dans « une si belle entreprise, seul je ferais le bien de mes « peuples, seul je nie considérerais comme leur re« présentant, et connaissant...

...regardaient les droits antiques et constitutionnels des trois ordres : <r Si vous m'abandonnez, ajoutaitil, seul je ferai le bien de mes peuples, seul je me considérerai comme leur véritable représentant. » 11 sortit en commandant aux ordres de se retirer dans leurs salles respectives. Les deux premiers...

...regardaient les droits antiques et constitutionnels des trois ordres : i Si vous m'abandonnez, ajoutaitil, seul je ferai le bien de mes peuples, seul je me considérerai comme leur véritable représentant. » II sortit en commandant aux ordres de se retirer dans leurs salles respectives. Les deux premiers...

...dispot sitions et de mes vues ; elles sont conformes au vif désir « que j'ai d'opérer le bien public, et si, par une fatalité « loin de ma pensée, vous...entreprise, seul je ferai le bien de mes peuples, ,r seul je me considérerai comme leur véritable représentant ; « et connaissant vos cahiers, connaissant...

...d'entendre le résultat de mes dispositions. Si, par une fatalité loin de ma pensée, vous m'abandonniez, seul je ferai le bien de mes peuples; seul je me considérerai comme leur véritable représentant... Je vous ordonne, Messieurs, de vous séparer tout de suite *. » 1. Cette Déclaration fut et est encore...

...intolérable, qui jetait le gant à l'Assemblée, commençait la guerre : € Si vous m'abandonnez dans une si belle entreprise, seul, je ferai le bien de mes peuples, seul, je me i.unnidérerai comme leur véritable représentant. ? Et enfin : « Je vous ordonne, messieurs, de...

...dispositions et de mes vues, elles sont « conformes au vif désir que j'ai d'opérer le bien « public ; et si, par une fatalité loin de ma pensée, « vous m'abandonniez dans une si belle entre« prise, seul je ferai le bien de mes peuples, seul « je me considérerai comme leur véritable...

...atteinte. Si les états généraux m'abandonnent dans une si belle entreprise, ajoutait-il, je ferai seul le bien de mes peuples, seul je me considérerai comme leur véritable représentant. Puis il ordonnait aux députés de se séparer à l'instant et de se rendre dans leurs chambres respectives...