Oeuvres de Jérémie Bentham: Traités de législation civile et pénale, tactique des assemblées politiques délibérantes, traité des sophismes politiques, ÇáãÌáÏ 1 |
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acte appelle assemblée aurait avant avantage besoin bonne c'est-à-dire caractère cause chambre changement CHAPITRE chose circonstances classe code commun condition considérer contraire corps crime danger déclaration degré délit délits différentes dire division doit doivent donner effet également égard espèce établir état etre exemple exposé fonds force forme général gouvernement hommes idées individus intérêt jour juge justice l'assemblée l'autre l'esprit l'État l'homme l'un laisser législateur liberté lieu lois manière membres mème ment mesure mieux morale motifs moyens n'en n'ont nature naturel nécessaire nombre objet obligations observer ordre parler particulier passer peine penser père personne peuple peuvent place porter pourrait pouvoir premier présente produit propose proposition propre propriété public publique puisse qu'à qu'un question raison rapport règle rendre résulte rien s'il second sens sentiment serait service servir seul simple société sophisme sorte souvent sujet sûreté système termes tion titre traité trouve utile vérité veut Voilà vrai
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ÇáÕÝÍÉ 521 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.þ
ÇáÕÝÍÉ 522 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.þ
ÇáÕÝÍÉ 511 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.þ
ÇáÕÝÍÉ 518 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.þ
ÇáÕÝÍÉ 69 - Il ne faut point prendre au peuple sur ses besoins réels, pour des besoins de l'État imaginaires. Les besoins imaginaires sont ce que demandent les passions et les faiblesses de ceux qui gouvernent^ le charme d'un projet extraordinaire, l'envie malade d'une vaine gloire, et une certaine impuissance d'esprit contre les fantaisies.þ
ÇáÕÝÍÉ 528 - La propriété est le droit de jouir et de disposer de ses biens, de ses revenus , du fruit de son travail et de son industrie.þ
ÇáÕÝÍÉ 518 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen, appelé ou saisi en vertu de la loi, doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.þ
ÇáÕÝÍÉ 522 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution.þ
ÇáÕÝÍÉ 519 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 519 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.þ