Oeuvres de Plutarque: Les vies des hommes illustres pour servir de supplément aux vies

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De l'imprimerie de Cussac, 1802
 

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ÇáÕÝÍÉ 458 - Comme le fuccès de fes entreprifes dépendoit beaucoup de l'expédition , il accoutumoit fes foldats à marcher en diligence , & à être prêts à toute heure , tant de nuit que de jour. Ses troupes avoient honte de fe plaindre des fatigues , quand elles voyoient que leur Général en prenoit fa part , & qu'il ne s'expofoit pas moins que le...þ
ÇáÕÝÍÉ 114 - Cette connoissance lui fit comprendre combien il étoit de son intérêt en toutes façons de se l'assurer pour ami. Latinus avoit une fille unique , nommée Lavinie. Il avoit contracté quelques engagemens de la marier à Turnus , prince qui étoit neveu ou du moins parent de la reine Amate. Mais il crut que le mérite du prince Troyen pouvoit le dispenser de garder trop religieusement ses promesses; et nonobstant toutes les oppositions que fit la reine en faveur du prince son parent, il maria sa...þ
ÇáÕÝÍÉ 253 - Cornicule, agissoit plutôt comme un juge qui exécute une sentence contre des traîtres et des rebelles opiniâtres , que comme un prince engagé dans une guerre contre un ennemi qui a de l'honneur, et qui se conduit selon les règles ; et quelque dur que paroisse le traitement qu'il leur fit , on ne peut pas dire qu'il fut injuste.þ
ÇáÕÝÍÉ 368 - Théron , dans la première épouvante du peuple , avoit été obligé de faire condamner : il fit aussi plusieurs nouvelles portes dans les endroits des murailles les plus propres pour faire entrer les choses dont la ville pouvoit avoir besoin.þ
ÇáÕÝÍÉ 324 - Brutus parla avec force contre cette requête. Il dit qu'il étoit d'avis qu'on retînt les biens des Tarquins , pour dédommager en quelque façon la République, des maux qu'elle avoit...þ
ÇáÕÝÍÉ 92 - Ne pouvant fe refoudre à .refter tranquille tandis que les Troyens étoient menacés par les Grecs d'une ruine prochaine , pour des crimes qu'ils n'avoient point commis ; quand il vit que la guerre étoit inévitable , il prit volontiers les apmes & fe joignit aux autres pour défendre la.þ
ÇáÕÝÍÉ 261 - Romains les transfuges et les prisonniers sans rançon , de remettte à leurs maîtres tous les esclaves qu'ils avoient enlevés dans leurs courses , de restituer ou payer aux gens de la campagne ce qu'ils leur avoient emporté, en un mot , de réparer tous les torts qu'ils avoient faits sur les terres de la république ; leur promettant que s'ils remplissoient exactement ces conditions...þ
ÇáÕÝÍÉ 268 - Ce pays étant trèsriche et très-abondant , il résolut enfin d'en tirer ce qui lui étoit nécessaire pour faire subsister et pour entretenir son armée. Il y fit trois courses consécutives , et désola tellement les terres les plus fertiles , qu'il mit ces pauvres peuples hors d'état de recueillir ni blé , ni vin , ni fruits pendant trois ans. Il ravagea de la même manière les campagnes de Géré , qui étoit une des plus grandes villes , des plus peuplées et des plus riches de l'Etrurie.þ
ÇáÕÝÍÉ 264 - Quelqu' envie qu'eussent les deux armées d'en venir aux mains, il n'y eut cependant aucune action générale. Mais Tarquin , sans donner bataille , ruina entièrement les affaires des Sabins par un stratagème qui est un des plus remarquables de l'antiquité. Voici de quelle TARQUIN L'ANCIEN.þ
ÇáÕÝÍÉ 336 - Plébéiens dans l'ordre des Patriciens. Les biens du Roi furent partagés entre le petit peuple > ou félon d'autres , on les lui abandonna à piller , & chacun en prit ce qu'il voulut ; on détruifit auflî le palais.þ

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