Essai sur l'inégalité des races humaines, ÇáãÌáÏ 2

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Firmin-Didot, 1884 - 566 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

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ÇáÕÝÍÉ 539 - Les deux variétés inférieures de notre espèce, la race noire, la race jaune, sont le fond grossier, le coton et la laine, que les familles secondaires de la race blanche assouplissent en y mêlant leur soie, tandis que le groupe arian faisant circuler ses filets plus minces à travers les générations ennoblies, applique à leur surface, en éblouissant chef-d'oeuvre, ses arabesques d'argent et d'or.þ
ÇáÕÝÍÉ 122 - At rex sollicitus monstris oracula Fauni, Fatidici genitoris, adit, lucosque sub alta Consulit Albunea, nemorum quae maxima sacro Fonte sonat saevamque exhalat opaca mephitim.þ
ÇáÕÝÍÉ 299 - ... civilisation romaine était plus riche que la sienne, et il en cherchait le pourquoi. Ce n'était nullement cet enfant tapageur que l'on s'imagine d'ordinaire, mais un adolescent bien éveillé sur ses intérêts positifs , qui savait comment s'y prendre pour sentir, voir, comparer, juger, préférer. Quand le Romain vaniteux et misérable opposait sa fourberie à l'astuce rivale du barbare , qui décidait la victoire ? Le poing du second. Tombant comme une masse de fer sur le crâne du pauvre...þ
ÇáÕÝÍÉ 122 - Oenotria tellus 85 in dubiis responsa petunt : hue dona sacerdos cum tulit et caesarum ovium sub nocte silenti pellibus incubuit stratis somnosque petivit, multa modis simulacra videt volitantia miris et varias audit voces fruiturque deorum 90 conloquio atque imis Acheronta adfatur Avernis.þ
ÇáÕÝÍÉ 556 - Ainsi mélange, mélange partout, toujours mélange, voilà l'œuvre la plus claire, la plus assurée, la plus durable des grandes sociétés et des puissantes civilisations, celle qui, à coup sûr, leur survit...þ
ÇáÕÝÍÉ 562 - L'espèce blanche (...) a désormais disparu de la face du monde. > (Ettai, II, 560) « I,a famille ariane et, à plus forte raison, le reste de la famille blanche, avait cessé d'être absolument pure à l'époque où naquit le Christ.þ
ÇáÕÝÍÉ 482 - Avoit une coustume ens el tiois pays, Que tout li grant seignor, li conte et li marchis Avoient entour aus gent françoise tous dis, Pour aprendre françois lor filles et lor fis.þ
ÇáÕÝÍÉ 483 - Le gentilhomme français fut, au contraire, sommé de reconnaître que les obligations strictes de l'honneur l'astreignaient à tout sacrifier à son roi, ses biens, sa liberté, ses membres, sa vie. Dans un dévouement absolu (') consista pour lui l'idéal de sa qualité de noble, et, parce qu'il était noble, il n'y eut pas d'agression de la part de la royauté qui pût le relever, en stricte conscience, de cette abnégation sans borne.þ
ÇáÕÝÍÉ 360 - Ils eurent moins d'éclat que les Francs, plus tôt civilisés par l'Empire, mais en revanche plus de longévité; et leurs descendants, les Anglo-Saxons, représentent, parmi les peuples sortis de la péninsule scandinave, le seul qui, dans les temps modernes, ait conservé une certaine « portion apparente » de l'essence ariane. C'est l'unique nation de ce sang qui, à proprement parler, vive encore de nos jours.þ
ÇáÕÝÍÉ 531 - ... et compatissante à l'excès, en proclamant la mansuétude la plus illimitée, travaille incessamment à s'entourer d'un horizon de tombes. La raison en est qu'elle ne vit que pour trouver l'utile; que tout, ce qui ne* la sert pas dans ses tendances lui nuit, et que, logiquement, tout ce qui nuit est d'avance condamné, et, le moment arrivé, détruit1.þ

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