Mélanges religieux, historiques, politiques et littéraires (1842-1856)L. Vivès, 1857 - 18 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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ÇáÕÝÍÉ 61 - Et prêchent la retraite au milieu de la cour; Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et, pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment De l'intérêt du ciel leur fier ressentiment; D'autant plus dangereux dans leur âpre colère, Qu'ils prennent contre nous des armes qu'on révère Et que leur passion, dont on leur sait bon gré, Veut nous assassiner avec un fer sacré.þ
ÇáÕÝÍÉ 73 - La chambre , se reposant sur le gouvernement du soin de faire exécuter les lois de l'Etat, passe à l'ordre du jour.þ
ÇáÕÝÍÉ 66 - Nulle association de plus de vingt personnes, dont le but sera de se réunir tous les jours ou à certains jours marqués pour s'occuper d'objets religieux , littéraires , politiques ou autres , ne pourra se former qu'avec l'agrément du gouvernement, et sous les conditions qu'il plaira à l'autorité publique d'imposer à la société.þ
ÇáÕÝÍÉ 531 - Depuis ce temps a paru le concordat ; on y reconnut que la religion catholique est la religion de la majorité des Français, l'autorité des canons fut reçue.þ
ÇáÕÝÍÉ 62 - États, sous le voile spécieux d'un Institut religieux, non un ordre qui aspire véritablement et uniquement à la perfection évangélique, mais plutôt un corps politique, dont l'essence consiste dans une activité continuelle pour parvenir par toutes sortes de voies directes ou indirectes, sourdes ou publiques, d'abord à une indépendance absolue et successivement à l'usurpation de toute autorité.þ
ÇáÕÝÍÉ 230 - Je jure et promets à Dieu, sur les saints Évangiles, de garder obéissance et fidélité au gouvernement établi par la constitution de la République française. Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit au dedans, soit au dehors, qui soit contraire à la tranquillité publique; et si, dans mon diocèse ou ailleurs, j'apprends qu'il se trame quelque chose au préjudice de l'État, je le ferai savoir au gouvernement.þ
ÇáÕÝÍÉ 62 - ... qu'un Etat vraiment libre ne doit souffrir dans son sein aucune corporation, pas même celles qui, vouées à l'enseignement public, ont bien mérité de la patrie...þ
ÇáÕÝÍÉ 124 - Je ne les ai point protégés tant qu'ils ont été puissants; dans leur malheur, je ne vois en eux que des gens de lettres qu'on aurait bien de la peine à remplacer pour l'éducation de la jeunesse.þ
ÇáÕÝÍÉ 145 - C'est sous le régime légal de la Charte; c'est pendant le règne de la liberté de la tribune et de la liberté de la presse.þ
ÇáÕÝÍÉ 408 - Je l'ai dit vingt fois au directoire : si l'on n'admet la tolérance religieuse , il faut renoncer à l'espoir de la paix, dans ces contrées. Le dernier habitant , acharné d'aller en paradis , se fera tuer en défendant l'homme qu'il croit lui en avoir ouvert les portes. Qu'on oublie une fois les prêtres , et bientôt il n'y aura ni prêtres ni guerre : qu'on les poursuive collectivement , et l'on aura la guerre et des prêtres pendant mille ans.þ