Oeuvres complètes, المجلد 15Armand-Aubrée, 1833 |
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عبارات ومصطلحات مألوفة
Adieu affaire aime amis amitié assez auroit avez avoit bontés canton de Berne cher ami cher Moultou chère Marianne chose citoyen cœur COMTESSE DE BOUFFLERS connois connoître conseil consolation crois déja Deluc desirer devoir digne dire dois donner écrire écrit envoyé état êtes étoit faudroit femme qui s'affiche Genève Génevois gens grace homme honnête j'ai j'aurois j'avois j'en j'espère j'étois jamais jours juger là-dessus laisser lettre livre m'avez m'en m'est m'honorez m'ont madame la maréchale MADAME LATOUR mademoiselle Le Vasseur Malesherbes malheurs MARÉCHAL DE LUXEMBOURG maux ment mieux milord Maréchal monsieur Montmollin Montmorency Motiers Motiers-Travers n'ai n'en n'étoit Neuchâtel parceque parler paroît passer pays penser personne peut-être plaisir Pontarlier pourroit pouvoit prendre prince de Conti puisse qu'à raison reconnoissance religion réponse respect reste rien Rousseau s'il Saint-Brisson sais sentiments sera seroit seul soin sort Suisse supplie sûr THÉODORE ROUSSEAU trouve veux Voilà vois Voltaire voudrois voulez vous-même Yverdun
مقاطع مشهورة
الصفحة 82 - Je désire être uni extérieurement à l'Église comme je le suis dans le fond de mon cœur ; et quelque consolant qu'il soit pour moi de participer à la communion des fidèles, je le désire, je vous proteste, autant pour leur édification et pour l'honneur du culte...
الصفحة 89 - A l'égard de mon livre, vous le jugerez comme il vous plaira; vous savez que j'ai toujours séparé l'auteur de l'homme : on peut ne pas aimer mes livres, et je ne trouve point cela mauvais ; mais quiconque ne m'aime pas à cause de mes livres est un fripon, jamais on ne m'ôtera cela de l'esprit.
الصفحة 271 - Ce ne sont ni les murs ni les hommes qui font la patrie ; ce sont les lois , les mœurs , les coutumes , le gouvernement , la constitution , la manière d'être qui résulte de tout cela.
الصفحة 332 - Vous songez à changer de pays; c'est fort bien fait, à mon avis; mais il eût été mieux encore de commencer par changer de robe, puisque celle que vous portez ne peut plus que vous déshonorer. Je vous aimerai toujours, et je n'ai point cessé de vous estimer ; mais je veux que mes amis sentent ce qu'ils se doivent, et qu'ils fassent leur devoir pour euxmêmes aussi bien qu'ils le font pour moi. Adieu, cher Moultou ; je vous embrasse de tout mon cœur.
الصفحة 183 - Quoi qu'il en soit, si jamais il arrive qu'il. revienne sincèrement, j'ai déjà les bras ouverts ; car, de toutes les vertus chrétiennes , l'oubli des injures est , je vous jure , celle qui me coûte le moins. Point d'avances , ce...
الصفحة 196 - Genevois; j'ai tendrement aimé mes compatriotes; je n'ai rien oublié pour me faire aimer d'eux; on ne saurait plus mal réussir : je veux leur complaire jusque dans leur haine. Le dernier sacrifice qui me reste à faire est celui d'un nom qui me fut cher.
الصفحة 89 - Vous dites que je ne suis indifférent à personne; tant mieux: je ne puis souffrir les tièdes, et j'aime mieux être haï de mille à outrance, et aimé de même d'un seul. Quiconque ne se passionne pas pour moi n'est pas digne de moi.
الصفحة 194 - Tout ce que je puis faire de bien ne fera jamais qu'aigrir la rage des Genevois. Elle est à un point inconcevable. Je suis persuadé qu'ils viendront à bout de m'en rendre enfin la victime. Mon seul crime est de les avoir trop aimés: mais ils ne me le pardonneront jamais.
الصفحة 365 - Nous avouons avec douleur et en rougissant que c'est un homme qui porte encore les marques funestes de ses débauches, et qui, déguisé en saltimbanque, traîne avec lui de village en village, et de montagne en montagne, la malheureuse dont il fit mourir la mère, et dont il a exposé les enfants à la porte d'un hôpital en rejetant les soins qu'une personne charitable voulait avoir d'eux, et en abjurant tous les sentiments de la nature comme il dépouille ceux de l'honneur et de la religion.
الصفحة 105 - Vous êtes mon protecteur et mon bienfaiteur; et je porte un cœur fait pour la reconnoissance; je viens m'acquitter avec vous , si je puis. Vous voulez me donner du pain ; n'y at-il aucun de vos sujets qui en manque...