Œuvres de M. Gresset, ÇáãÌáÏ 2E. Kelmarneck, 1748 |
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ÇáÕÝÍÉ 8
... enfin s'appliquant chaque jour à chercher dans fa voix des mouvemens plus légers & des cadences plus tendres , inftruite par les Amours déja nés avec elle , bien - tôt elle fe fit un Art du chant , préfent des Cieux , par lequel après ...
... enfin s'appliquant chaque jour à chercher dans fa voix des mouvemens plus légers & des cadences plus tendres , inftruite par les Amours déja nés avec elle , bien - tôt elle fe fit un Art du chant , préfent des Cieux , par lequel après ...
ÇáÕÝÍÉ 11
... enfin , pourfuit - on , compa- rer la Mufique ancienne à celle des derniers âges , c'eft comparer le premier crépufcule du matin , l'é- clat douteux de l'aurore , au Soleil dans sa course . Illusion ordinaire du préjugé : les ficcles ...
... enfin , pourfuit - on , compa- rer la Mufique ancienne à celle des derniers âges , c'eft comparer le premier crépufcule du matin , l'é- clat douteux de l'aurore , au Soleil dans sa course . Illusion ordinaire du préjugé : les ficcles ...
ÇáÕÝÍÉ 16
... enfin des antres fauvages , furent humanifés , áttirés dans des murs , réunis fous des loix par les accords de quelques mortels déja plus cultivés , qui dans des chanfons engageantes , leur vantoient la beauté de la raison , les ...
... enfin des antres fauvages , furent humanifés , áttirés dans des murs , réunis fous des loix par les accords de quelques mortels déja plus cultivés , qui dans des chanfons engageantes , leur vantoient la beauté de la raison , les ...
ÇáÕÝÍÉ 17
... enfin dans vos pompeux écrits , Philofophes altiers , Stoïciens or- gueilleux ? Importuns confolateurs , fuyez ; en vain me prêcheriez - vous fous des termes fleuris , une patience muette une infenfibilité superbe , une conftance ...
... enfin dans vos pompeux écrits , Philofophes altiers , Stoïciens or- gueilleux ? Importuns confolateurs , fuyez ; en vain me prêcheriez - vous fous des termes fleuris , une patience muette une infenfibilité superbe , une conftance ...
ÇáÕÝÍÉ 22
... enfin plûtôt que vaincu , honteux de furvivre à fon filence , fouvent . du fein des ormeaux il est tombé aux pieds de fon vainqueur en foupirant , & plus d'une fois la Guit tarre a été fon tombeau . C'est ce même appas qui du fond des ...
... enfin plûtôt que vaincu , honteux de furvivre à fon filence , fouvent . du fein des ormeaux il est tombé aux pieds de fon vainqueur en foupirant , & plus d'une fois la Guit tarre a été fon tombeau . C'est ce même appas qui du fond des ...
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affez Affurément afile ainfi ALZONDE amour Arifte ARIST ARONDE ARONDEL auffi bonheur c'eft c'eſt caufe ceffe cher Chloé Cléon cœur confeils connoiffez crime crois défirs deftin déja DUMON EDOUARD ÉDOUARD III efprit eft-il enfin eſt êtes étoit EUGENIE fage fang fans doute fçai fçais fçait fçavez fçavoir fecret fein féjour fens fentimens fentiment feroit fervir feul fiécles filence FLORIS FLORISE foibleffe foins foit font fouffrir foupçon fous fouvent FRONTIN fuis fureur gens GERONTE GLASTON goût grace HAMILTON inftant ISMEN j'ai j'en jour l'amour l'efprit l'Harmonie laiffe Lifette LISETTE loix long-tems m'en Madame maître malheur Meffieurs Monfieur Mufique n'eft n'eſt paffé parler penfe Peuple plaifir plaifirs Poëfie préfent puiffance raifon refpectable refte rien Rofalie ROSALIE SCENE VII Seigneur ſes SIDNE SIDNEI ſon tems tendreffe trifte Trône VALER Valere vertu veux voilà vois voix VOLFA VOLFAX VORCESTRE
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ÇáÕÝÍÉ 330 - Tenez, voilà Cléon, il pourra vous apprendre, S'il veut, des procédés que je ne puis comprendre. C'est de mon amitié faire bien peu de cas...þ
ÇáÕÝÍÉ 259 - Et la grosse gaieté de l'épaisse opulence ; Tant de petits talens où je n'ai pas de foi, Des réputations, on ne sait pas pourquoi ; Des protégés si bas ! des protecteurs si bêtes ! Des ouvrages vantés, qui n'ont ni pieds ni têtes ! Faire des soupers fins où l'on périt d'ennui ; Veiller par air, enfin se tuer pour autrui ; Franchement, des plaisirs, des biens de cette sorte Ne sont...þ
ÇáÕÝÍÉ 331 - Et réalisez-vous cet être imaginaire, Ce petit préjugé qui ne va qu'au vulgaire? Pour moi, je n'y crois pas : soit dit sans intérêt, Tout le monde est méchant, et personne ne l'est : On reçoit et l'on rend ; on est à peu près quitte.þ
ÇáÕÝÍÉ 259 - Des flatteurs , des valets , des plaisants détestables, Des jeunes gens d'un ton, d'une stupidité!.. Des femmes d'un caprice, et d'une fausseté!.. Des prétendus esprits souffrir la suffisance , Et la grosse...þ
ÇáÕÝÍÉ 333 - Une explication! en faut-il quand on s'aime? Ma foi, laissez tomber tout cela de soi-même. Me mêler là-dedans!... ce n'est pas mon avis : Souvent un tiers se brouille avec les...þ
ÇáÕÝÍÉ 230 - Et c'est une sottise Que pour un compliment.. . LISETTE. Oui , bonté c'est bêtise , Selon ce beau docteur : mais vous en reviendrez. En attendant , en vain vous vous en défendrez , Vous n'êtes pas méchant, et vous ne pouvez l'être. Quelquefois , je le sais, vous voulez le...þ
ÇáÕÝÍÉ 230 - Moi ! je ne suis pas bon. Et c'est une sottise Que pour un compliment... LISETTE. Oui, bonté c'est bêtise, Selon ce beau docteur : mais vous en reviendrez. En attendant, en vain vous vous en défendrez, Vous n'êtes pas méchant, et vous ne pouvez l'être. Quelquefois, je le sais, vous voulez le...þ
ÇáÕÝÍÉ 270 - Non, je ne l'ai jamais vu ; Chez moi depuis six ans je ne suis pas venu ; Ma mère m'a mandé que c'est un homme sage, Fixé depuis longtemps dans notre voisinage ; Que c'étoit son ami, son conseil aujourd'hui, Et qu'elle prétendoit me lier avec lui.þ
ÇáÕÝÍÉ 261 - Ce n'est pas sur leurs mœurs que je veux qu'on en cause, Un vice, un déshonneur, font assez peu de chose, Tout cela dans le monde est oublié bientôt ; Un ridicule reste, et c'est ce qu'il leur faut. Qu'en dites-vous ? cela peut faire un bruit du diable, Une brochure unique, un ouvrage admirable, Bien scandaleux, bien bon : le style n'y fait rien ; Pourvu qu'il soit méchant, il sera toujours bien. FLORISE. L'idée est excellente, et la vengeance est sûre. Je vous prierai d'y joindre avec quelque...þ
ÇáÕÝÍÉ 327 - Cessez de m'accabler, monsieur, et par pitié Songez qu'avant ce jour j'avois votre amitié. Par l'erreur d'un moment ne jugez point ma vie.þ