Annales dramatiques: ou, Dictionnaire général des théȧtres ...Hénée, chez Babault, 1811 |
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ÇáÕÝÍÉ 4
... fort ancienne ; tout son mérite consiste dans le jeu d'Arlequin . Thomassin , chargé de ce rôle , y faisait des tours d'une force extraordinaire . Entre autres , il marchait autour des premières , secondes et troisièmes loges . Mais le ...
... fort ancienne ; tout son mérite consiste dans le jeu d'Arlequin . Thomassin , chargé de ce rôle , y faisait des tours d'une force extraordinaire . Entre autres , il marchait autour des premières , secondes et troisièmes loges . Mais le ...
ÇáÕÝÍÉ 5
... fort étonnés de se voir déjà connus à Naples . Quoi qu'il en soit , ils arrêtent un appartement , où Arlequin dépose sa valise , et ils commandent à dîner . Cependant Léonor arrive , prend Lélio l'étranger pour son amant , lui demande ...
... fort étonnés de se voir déjà connus à Naples . Quoi qu'il en soit , ils arrêtent un appartement , où Arlequin dépose sa valise , et ils commandent à dîner . Cependant Léonor arrive , prend Lélio l'étranger pour son amant , lui demande ...
ÇáÕÝÍÉ 6
... fort étonné , prend Léonor pour une aventurière , et lui répond en termes peu gracieux , etc. Enfin tout le reste de cette pièce est fondé sur les méprises continuelles que cause la ressemblance des deux Lélio et des deux Arlequins ...
... fort étonné , prend Léonor pour une aventurière , et lui répond en termes peu gracieux , etc. Enfin tout le reste de cette pièce est fondé sur les méprises continuelles que cause la ressemblance des deux Lélio et des deux Arlequins ...
ÇáÕÝÍÉ 11
... fort que soit son amour , il ne peut vaincre le sommeil qui s'empare de lui . Lorsqu'elle le voit endormi , Agathe le quitte , et ordonne à Arlequin de prendre sa place ; de sorte qu'à son réveil , Scaramouche , croyant parler à son ...
... fort que soit son amour , il ne peut vaincre le sommeil qui s'empare de lui . Lorsqu'elle le voit endormi , Agathe le quitte , et ordonne à Arlequin de prendre sa place ; de sorte qu'à son réveil , Scaramouche , croyant parler à son ...
ÇáÕÝÍÉ 13
... fort tard que l'on s'est décidé à lui rendre cette justice . On en croyait Boileau sur parole , et l'on regardait comme des décisions absolues quelques hémistiches amenés par la rime , et plus souvent par l'humeur . Les traits que le ...
... fort tard que l'on s'est décidé à lui rendre cette justice . On en croyait Boileau sur parole , et l'on regardait comme des décisions absolues quelques hémistiches amenés par la rime , et plus souvent par l'humeur . Les traits que le ...
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ÇáÕÝÍÉ 351 - Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée, Comme au jour de sa mort pompeusement parée. Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté; Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage, Pour réparer des ans l'irréparable outrage. « Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi; « Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi.þ
ÇáÕÝÍÉ 50 - Et la mer leur répond par ses mugissements; La rive au loin gémit, blanchissante d'écume; La flamme du bûcher d'elle-même s'allume; Le ciel brille d'éclairs, s'entr'ouvre, et parmi nous Jette une sainte horreur qui nous rassure tous.þ
ÇáÕÝÍÉ 351 - En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.þ
ÇáÕÝÍÉ 151 - ... qu'il n'exige pas une grande étendue de voix. Une romance bien faite , n'ayant rien de saillant, n'affecte pas d'abord; mais chaque couplet ajoute quelque chose à l'effet des précédents, l'intérêt augmente insensiblement, et quelquefois on se trouve attendri jusqu'aux larmes , sans pouvoir dire où est le charme qui a produit cet effet.þ
ÇáÕÝÍÉ 49 - L'œil farouche, l'air sombre, et le poil hérissé, Terrible, et plein du dieu qui l'agitait sans doute...þ
ÇáÕÝÍÉ 50 - Prend le sacré couteau, le plonge dans son sein. A peine son sang coule et fait rougir la terre, Les dieux font sur l'autel...þ
ÇáÕÝÍÉ 350 - C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit; Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée , Comme au jour de sa mort pompeusement parée : Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté ; Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage Pour réparer des ans l'irréparable outrage. Tremble...þ
ÇáÕÝÍÉ 273 - J'envie , en écrivant , le sort de Pelletier ' . Bienheureux Scudéri 3, dont la fertile plume Peut tous les mois sans peine enfanter un volume ! Tes écrits , il est vrai , sans art et languissants , Semblent être formés en dépit du bon sens ; Mais ils trouvent pourtant, quoi qu'on en puisse dire, Un marchand pour les vendre , et des sots pour les lire...þ
ÇáÕÝÍÉ 389 - Pour moi, je suis plus fière, et fuis la gloire aisée D'arracher un hommage à mille autres offert, Et d'entrer dans un cœur de toutes parts ouvert.þ
ÇáÕÝÍÉ 137 - Les comédiens ordinaires du Roi, pénétrés de respect pour la mémoire du grand Corneille, ont cru ne pouvoir en donner une preuve plus sensible qu'en accordant à son neveu , seul rejeton de la famille de ce grand homme , une représentation. Ils donneront lundi prochain, 10 mars 1750, à son profit, Rodogune , tragédie de Pierre Corneille, etc.þ