Abrégé d'astronomieChez Firmin Didot, 1795 - 419 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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affez aftre aftronomes ainfi angle anomalies vraies aphélie au-deffus auffi avoit c'eft c'eſt c'est-à-dire calcul caufe céleftes centre du foleil cercle cofinus comete confidérer conftellations conjonction connoître déclinaifon degré demi-diametre diametre différence diftance diſtance diurne divifé éclipfes eft égal ellipfe enfuite épactes épicycle équinoxes eſt étoiles étoit fans fatellite faturne fe trouve feconde fenfible fera feroit fervir feulement fignes finus fituation fitué foit folaire foleil foleil eft folftice fomme fon orbite font force force centrale fous fphere fuffit fuivant fuppofe furface géocentrique globe hauteur héliocentrique jours jufqu'à jupiter Képler l'afcenfion l'angle l'arc l'attraction l'écliptique l'ellipfe l'équateur l'étoile l'horizon l'obfervation l'orbite latitude lever héliaque lieu ligne longitude lorfque lumiere lune eft maniere mefure méridien midi mouvemens mouvement mouvement diurne n'eft noeud obfervations ourfe paffage paffe parallaxe parallele paroît périhélie perpendiculaire planete plufieurs pole premiere projection puifque raifon rayon révolution tems terre terreftre triangle vénus vîteffe zénit
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ÇáÕÝÍÉ xx - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux, Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes!þ
ÇáÕÝÍÉ xx - Confidents du Très-Haut, substances éternelles, Qui brûlez de ses feux, qui couvrez de vos ailes Le trône où votre maître est assis parmi vous, Parlez: du grand Newton n'étiez-vous point jaloux?þ
ÇáÕÝÍÉ xii - Comètes que l'on craint à l'égal du tonnerre, Cessez d'épouvanter les peuples de la terre : Dans une ellipse immense achevez votre cours; Remontez, descendez près de l'astre des jours; Lancez vos feux , volez ; et , revenant sans cesse , Des mondes épuisés ranimez la vieillesse. Et toi...þ
ÇáÕÝÍÉ 43 - Cette force avec laquelle tous ces corps descendent vers la terre, soit qu'on l'appelle pesanteur , gravité ou attraction , quoique sa cause nous soit inconnue , se manifeste dans tous les points de notre globe ; par-tout les corps graves tendent vers le centre de la terre par un effort constant et inaltérable...þ
ÇáÕÝÍÉ 316 - Nous ne • qu'elle n'avoit fait au mois de novembre avant fon périhélie : cette règle eft même générale , & lui paroît fuffifante pour prouver que la queue des comètes n'eft qu'une vapeur très- légère , élevée du noyau de la comète par la force de la chaleur. Euler y ajoute l'impulfion de la lumière ( Mém.þ
ÇáÕÝÍÉ x - Athéniens , avoit résolu de quitter la Sicile avec son armée ; une éclipse de lune , dont il fut frappé , lui fit perdre le moment favorable , et fut cause de la mort du général et de la ruine de son armée ; perte si funeste aux Athéniens , qu'elle fut l'époque de la décadence de leur patrie.þ
ÇáÕÝÍÉ 69 - L'Aurore boréale eft un phénomène lumineux , moins rare que la lumière zodiacale ; il eft ainfi nommé , parce qu'il a coutume de paroître du côté du Nord , ou de la partie boréale du Ciel...þ
ÇáÕÝÍÉ 178 - Ce n'eft encore , comme les déplacemens , les phafes, & les éclipfes, qu'un effèt du mouvement propre de la lune & de la circonftance de fa fituation. La terre réfléchit la lumière du fo.leil vers la lune , comme la lune la réfléchit vers la terre. Quand la lune eft en conjonction , la terre eft pour elle en oppofition. C'eft proprement pleine terre pour la lune , & la clarté qu'elle jette fur celle-ci eft telle que la lune peut nous la renvoyer par réfléxion.þ
ÇáÕÝÍÉ 258 - ... de diamètre; car, lorfque ces étoiles font éclipfées par la lune , elles n'emploient pas deux fécondes de temps à fe plonger fous le difque de la lune ; ce qui arriveroit néceffairement fi le diamètre de ces étoiles étoit de i".þ
ÇáÕÝÍÉ xix - Musae, 475 quarum sacra fero ingenti percussus amore, accipiant caelique vias et sidera monstrent, defectus solis varios lunaeque labores; unde tremor terris, qua vi maria alta tumescant obicibus ruptis rursusque in se ipsa residant, 480 quid tantum Oceano properent se tingere soles hiberni, vel quae tardis mora noctibus obstet.þ