| Voltaire - 1784 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 638
...n'aime ni l'un ni l'autre à la cour , mais il en faut pour le pauvre peuple. Cependant ce miniftre avait fait du bien ; on lui devait la liberté du...commerce des grains, celle de l'exercice de toutes les profeffions, la noblefle donnée aux commerçans , la fupprefllon des recherches fur le centième denier... | |
| Voltaire - 1785 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 484
...n'aime ni l'un ni l'autre à la cour , mais il en faut pour le pauvre peuple. Cependant ce miniftre avait fait du bien ; on lui devait la liberté du...commerce des grains , celle de l'exercice de toutes les profeffiens , la nobleffe donnée aux commerçans , la fuppreffion des recherches fur le centième... | |
| Voltaire - 1785 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 644
...n'aime ni l'un ni l'autre à la cour, mais il en faut pour le pauvre peuple. Cependant ce miniftre avait fait du bien ; on lui devait la liberté du...commerce des grains, celle de l'exercice de toutes les profeffions, la noblcfle donnée aux commerçans , la fuppreffion des recherches fur le centième denier... | |
| Voltaire - 1792 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 400
...ni l'autre à la cour, mais il en faut pour le pauvre peuple.. Cependant ce- miniftre avait fait dû bien , on lui devait la liberté du. commerce des grains, celle de l'exercice de toutes les proférions , la nob'.e'lc don» née aux commerçans , la fuppreffion des recherchesfor le centième... | |
| 1811 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 712
...Mu i l'Avrrdr: Va-l-cu lundi. Voltaire lui a rendu plus de justice dans une lettre à Taboureau : m Ce » ministre, dit-il, avait fait du bien. » On...professions , la noblesse » donnée aux commerçants , la sop» pression des recherches sur le crn» tième denier après deux années , lr> » privilèges des... | |
| Joseph Fr. Michaud, Louis Gabriel Michaud - 1811 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 690
...rendu plus de justice dans une lettre & Tabonreau : a Ce » raiuistrc, dit-il, avait fait du Lien. » On lui devait la liberté du commerce » des grains , celle de l'exercice de n toutes les professions , la noblesse » donnée aux commerçants , la sup» pression des recherches... | |
| 1816 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 956
...répondu à l'attente générale il fut remercié dans la même année. Voltaire seul lui rendit justice x Ce ministre, dit-il, avait fait du bien; » on lui devait la liberté du commerce s des grains, celle de L'exercice de toutes 3 les professions, la noblesse donnée aux i commerçans... | |
| François-Xavier Feller - 1819 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 588
...Cependant , dans son court ministère il opéra d'utiles réformes, et, comme le dit un auteur célèbre, on lui devait la liberté du commerce des grains, celle de l'exercice de toutes les professions, l'établissement d'une caisse d'amortissement, etc. Retiré dans sa terre de Cambáis , il se livra... | |
| 1820 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 610
...il en avait fait, dit Voltaire. » On lui doit, ajoute ce grand » homme, la liberté du com» merce des grains, celle de l'exer»cice de toutes les professions, la «noblesse donnée aux commer»cans, la suppression des recher»ches du centième denier; après »deux années, les privilèges... | |
| Voltaire - 1822 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 654
...en faut pour le pauvre peuple. Cependant ce ministre avait fait du bien; on lui devait la liherté du commerce des grains, celle de l'exercice de toutes...professions , la noblesse donnée aux commerçants, la suppression des rec'iercliessur le centième denier après deuxannéeâ. les priviléges des corps... | |
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