Philosophie de la révélation: le verbe, ou, La raison absolue différentiellement personnifiée dans l'universal. 2. essai, suivi de quelques éclaircissements

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Impr. d'E. Duverger, 1851 - 523 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

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ÇáÕÝÍÉ 135 - C'est pourquoi Dieu l'a élevé , et lui a donné un nom qui est au-dessus de tout nom , afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans le ciel, sur la terre et dans les enfers, et que (t) Joan., VII, 1J.þ
ÇáÕÝÍÉ 321 - ... c'est un Dieu à la fois vrai et réel , à la fois substance et cause , toujours substance et toujours cause , n'étant substance qu'en tant que cause , et cause qu'en tant que substance ; c'est-à-dire, étant cause absolue , un et plusieurs , éternité...þ
ÇáÕÝÍÉ 377 - ... les surfaces qu'on y peut mener. Prétendre que l'espace infini est sans parties , c'est prétendre que les espaces finis ne le composent point , et que l'espace infini pourrait subsister, quand tous les espaces finis seraient réduits à rien. Voilà donc...þ
ÇáÕÝÍÉ 316 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui. L'univers n'en sait rien1.þ
ÇáÕÝÍÉ 387 - Dieu sait qu'aussitôt que' vous aurez mangé de ce fruit, vos yeux seront ouverts, et vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.þ
ÇáÕÝÍÉ 442 - ... une science; qui ne réside pas dans un être différent d'elle-même, dans un animal, par exemple, ou dans la terre ou dans le ciel , ou dans toute autre chose ; mais qui existe éternellement et absolument par ellemême et en elle-même ; de laquelle participent toutes les autres beautés, sans que leur naissance ou leur destruction lui apporte la moindre diminution ou le moindre accroissement, ou la modifie en quoi que ce soit...þ
ÇáÕÝÍÉ 75 - ... dans cette partie où la vérité se fait entendre, nous y verrons quelque image de la Trinité que nous adorons. La pensée, que nous sentons naître comme le germe de notre esprit, comme le fils de notre intelligence, nous donne quelque idée du Fils de Dieu conçu éternellement dans l'intelligence du Père céleSte. C'est pourquoi ce Fils de Dieu prend le nom de Verbe...þ
ÇáÕÝÍÉ 173 - ... la rotation doit être plus prompte, quand ces molécules se rapprochent du centre du soleil. La force centrifuge due à ce mouvement, devenant ainsi plus grande ; le point où la pesanteur lui est égale, est plus près de ce centre. En supposant donc, ce qu'il est naturel d'admettre, que l'atmosphère s'est étendue à une époque quelconque, jusqu'à sa limite; elle a dû, en se refroidissant, abandonner les molécules situées à cette limite et aux limites successives produites par l'accroissement...þ
ÇáÕÝÍÉ 172 - Quelle que soit sa nature, puisqu'elle a produit ou dirigé les mouvemens des planètes , il faut qu'elle ait embrassé tous ces corps; et vu la distance prodigieuse qui les sépare, elle ne peut avoir été qu'un fluide d'une immense étendue. Pour leur...þ
ÇáÕÝÍÉ 254 - Ne craignez point. Ce n'est point par votre conseil que j'ai été envoyé ici, mais par la volonté de Dieu. Hâtez-vous d'aller trouver mon père. « ... Et s'étant jeté au cou de Benjamin, son frère, il pleura, et Benjamin pleura aussi en le tenant embrassé.þ

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