Répertoire de la littérature ancienne et moderne, ÇáãÌáÏ 12Chez Castel de Courval, 1825 |
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ABSALON Agamemnon amante âme ANTIGONE Aristote assez beau beautés bergers Boileau caractère CHOEUR chose Cicéron Clytemnestre cœur comédie d'Alembert d'Eschyle DAVID Démosthène Dieu dieux dire doit donner douleur dramatique Ducis Duclos Dufresny Duguet Dussault Duval élégies Éléments de Littérature éloquence ennemis Épictète épîtres Érasme Eschyle esprit Euménides eût François Ier génie genre gloire goût grace Grecs Harpe Hécube heureux homme idées ISMÈNE j'ai juge l'action l'âme l'amour l'art l'auteur l'autre l'églogue l'élégie l'éloquence l'Énéide l'épopée l'esprit l'Iliade l'imagination l'orateur laisse lettres logogriphe long-temps Louis XIV lui-même malheureux Marmontel Marsais ment mérite mœurs mort n'en nature naturel ouvrage Ovide parler passion pathétique peindre peinture pensée père personnages philosophie pièce plaisir poème poésie poète poétique premier prince Prométhée Properce qu'un quelquefois Quintilien raison rien scène semble sentiment serait seul Sophocle sort souvent style succès sujet sur-tout talent théâtre Tibulle tion tragédie traits trouve vérité veut Voltaire yeux
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ÇáÕÝÍÉ 108 - Là pour nous enchanter tout est mis en usage; Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage. Chaque vertu devient une divinité : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté. Ce n'est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C'est Jupiter armé pour effrayer la terre...þ
ÇáÕÝÍÉ 381 - Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et de sang tout couvert échauffant le carnage...þ
ÇáÕÝÍÉ 221 - N'attendez point de moi de regrets ni de larmes; Un grand cœur à ses maux applique d'autres charmes. Les faibles déplaisirs s'amusent à parler, Et quiconque se plaint cherche à se consoler. Moi, je jure des dieux la puissance suprême...þ
ÇáÕÝÍÉ 109 - C'est d'un scrupule vain s'alarmer sottement, Et vouloir aux lecteurs plaire sans agrément. Bientôt ils défendront de peindre la Prudence, De donner à Thémis ni bandeau ni balance, De figurer aux yeux la Guerre au front d'airain, Ou le Temps qui s'enfuit, une horloge à la main ; Et partout des discours, comme une idolâtrie, Dans leur faux zèle iront chasser l'allégorie.þ
ÇáÕÝÍÉ 270 - Hélas! ils se voyaient avec pleine licence. Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.þ
ÇáÕÝÍÉ 367 - Léandre conduit par l'amour, En nageant , disait aux orages : Laissez-moi gagner les rivages, þ
ÇáÕÝÍÉ 269 - Œnone, et ne suis point de ces femmes hardies Qui, goûtant dans le crime une tranquille paix, Ont su se faire un front qui ne rougit jamais.þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Sa main sur ses chevaux laissait flotter les rênes. Ses superbes coursiers, qu'on voyait autrefois Pleins d'une ardeur si noble obéir à sa voix, L'œil morne maintenant et la tête baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée.þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - S'élève un lit de plume à grands frais amassée : Quatre rideaux pompeux, par un double contour, En défendent l'entrée à la clarté du jour. Là, parmi les douceurs d'un tranquille silence, Règne sur le duvet une heureuse indolence. C'est là que le prélat, muni d'un déjeuner, Dormant d'un léger somme, attendoit le dîner.þ
ÇáÕÝÍÉ 109 - Que Neptune en courroux , s'élevant sur la mer, D'un mot calme les flots, mette la paix dans l'air , Délivre les vaisseaux , des syrtes les arrache; C'est là ce qui surprend , frappe, saisit, attache.þ