Histoire de la révolution française, depuis 1789 jusqu'en 1814, ÇáãÌáÏ 2J. Scheible, 1838 - 537 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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10 août 14 juillet 9 thermidor armée armes assemblée attaques avaient Babœuf Barrère bientôt Billaud-Varennes Bonaparte Camille Desmoulins cent Champ-de-Mars chefs citoyens classe moyenne clergé club coalition comité de salut commune conseil conspirateurs constitution constitution de 1791 constitutionnels convention convention nationale corps législatif cour courage Danton déclara décret déja demande démocrates départements députés devait dictature directoire Dumouriez émigrés ennemis époque états-généraux faction fallait Fayette force fructidor garde nationale général Gironde Girondins gouvernement guerre Henriot insurgés Jacobins l'armée l'assem l'assemblée l'Autriche l'État l'Europe l'insurrection liberté Louis XVI Marat membres ment mesures militaire mille hommes ministres modérés monarchie Montagnards multitude municipalité n'avait n'était Napoléon nation Necker noblesse ordres paix patrie patriotes Pétion peuple Pichegru politique populaire pouvait pouvoir prairial prince puissance régime républicains république réunis révolution révolutionnaire Rhin Robespierre royalistes royaume s'était Saint-Just salle salut public séance sections seul Sièyes tion tribunal tribune troupes Tuileries victoire voulait voulut
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ÇáÕÝÍÉ 63 - Eh bien! dites au roi que les hordes étrangères dont nous sommes investis ont reçu hier la visite des princes, des princesses, des favoris, des favorites, et leurs caresses, et leurs exhortations, et leurs présents; dites-lui que, toute la nuit, ces satellites étrangers, gorgés d'or et de vin, ont prédit dans leurs chants impies l'asservissement de la France, et que leurs vœux brutaux invoquaient la destruction de l'Assemblée nationale; dites-lui que, dans son palais même, les courtisans...þ
ÇáÕÝÍÉ 314 - Si le ressort du gouvernement populaire dans la paix est la vertu, le ressort du gouvernement populaire en révolution est à la fois la vertu et la terreur : la vertu, sans laquelle la terreur est funeste ; la terreur, sans laquelle la vertu est impuissante.þ
ÇáÕÝÍÉ 62 - Paris : il n'est pas possible de croire que les ordres qui ont été donnés aux troupes en soient la cause. Vous savez la réponse que j'ai faite à votre précédente députation ; je n'ai rien à y ajouter.þ
ÇáÕÝÍÉ 292 - C'est à coups de canon qu'il faut signifier la Constitution à nos ennemis ! C'est l'instant de faire ce grand et dernier serment, que nous nous vouons tous à la mort, ou que nous anéantirons les tyrans!þ
ÇáÕÝÍÉ 507 - Russie, cent vingt pièces de canon, vingt généraux, plus de trente mille prisonniers, sont le résultat de cette journée à jamais célèbre. Cette infanterie tant vantée, et en nombre supérieur, n'a pu résister à votre choc, et désormais vous n'avez plus de rivaux à redouter.þ
ÇáÕÝÍÉ 101 - Et certes, il n'y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni Rome... Mais aujourd'hui la banqueroute, la hideuse banqueroute est là ; elle menace de consumer, vous, vos propriétés, votre honneur... et vous délibérez!þ
ÇáÕÝÍÉ 278 - A peine at-il achevé, que les pétitionnaires insurgés viennent demander son arrestation et celle de ses collègues. " Citoyens," disent-ils en finissant, "le peuple est las de voir ajourner son bonheur, il le laisse encore un instant dans vos mains ; sauvezle, ou nous vous déclarons qu'il va se sauver luimême ! " La droite demande l'ordre du jour sur la pétition des insurgés.þ
ÇáÕÝÍÉ 463 - Qu'avez-vous fait de cette France que je vous ai laissée si « brillante? Je vous ai laissé la paix, j'ai retrouvé la guerre; « je vous ai laissé des victoires , j'ai retrouvé des revers; je vous « ai laissé les millions de l'Italie, et j'ai trouvé partout des lois « spoliatrices et de la misère. Qu'avez-vous fait de cent mille « Français que je connaissais tous, mes compagnons de gloire? þ
ÇáÕÝÍÉ 246 - ... deux heures, je suis occupé à rechercher si, « dans le cours de mon règne , j'ai pu mériter « de mes sujets le plus léger reproche : eh bien ! « monsieur de Malesherbes, je vous le jure dans « toute la vérité de mon cœur, comme un homme « qui va paraître devant Dieu, j'ai constam« ment voulu le bonheur du peuple, et jamais je « n'ai formé un vœu qui lui fût contraire.þ
ÇáÕÝÍÉ 310 - Fuyait-on au contraire la popularité, et se tenait-on au coin de son feu, cette vie retirée vous avait fait remarquer, vous avait donné de la considération.þ