De la félicité publique, ou Considérations sur le sort des hommes dans les différentes époques de l'histoire, ÇáãÌáÏ 1A.-A. Renouard, 1822 - 682 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
aisément anciens armées assez auteurs avaient Barbares bataille bientôt bonheur Carthage cent choses christianisme citoyens commencement Constantin crimes cruauté cruel culte Denys d'Halicarnasse despotisme Dieu dieux différens Diodore de Sicile doctrine dogmes doute empereurs enfans ennemis esclaves établi état eût évêques félicité féroces fondation de Rome force frivoles gloire gouvernement Grecs guerre Punique habitans heureux historiens hommes ibid idées jamais Jérusalem Jésus-Christ juger Juifs l'Église l'empire l'esprit l'histoire l'humanité l'Italie Lactance lecteur législation liberté lois long-temps Lycurgue malheureux ment mille mœurs monarchie monde n'avait n'était nations Néron nombre objet Origène origine ouvrage paganisme païens paix paraît patriciens Perses peuple romain philosophie politique pouvait première guerre Punique premiers prince principes qu'un raison règne religion chrétienne république reste rois Rome Romulus saint seconde guerre Punique sénat serait seul Sicile siècles sort souvent Sozomène Sparte succès surtout temple temple de Jérusalem terre teur tion Tite-Live trouve tyran Zosime
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 198 - Romani, quorum superbiam frustra per obsequium ac modestiam effugeris. raptores orbis, postquam cuncta vastantibus defuere terrae, iam et mare scrutantur : si locuples hostis est, avari, si pauper, ambitiosi, quos non Oriens, non Occidens satiaverit : soli omnium opes atque inopiam pari adfectu concupiscunt. auferre trucidare rapere falsis nominibus imperium, atque ubi solitudinem faciunt, pacem appellant.þ
ÇáÕÝÍÉ 26 - Il ya plus : il existe dans toutes les conditions un attrait irrésistible qui porte tous les êtres vers le meilleur état possible, et c'est là qu'il faut chercher cette révélation physique qui doit servir d'oracle à tous les législateurs (/,). L'erreur est de tomber toujours dans des abstractions, et de ne se décider que sur de vaines généralités. Est-on frappé de la corruption qui règne dans les grandes villes , on y oppose les mœurs agrestes des laboureurs et des pasteurs.þ
ÇáÕÝÍÉ 79 - Lycurgue, qui fut si aise de les voir égales. maris ijue d'une manière précaire et incertaine; les cnfans n'appartiennent point à leurs pères ; la nature est condamnée au silence : une voix impérieuse se fait seule entendre , la patrie possède tout, prétend tout, réclame tout, et cependant elle ne donne, elle n'offre, elle ne promet rien. Qu'est-ce donc que Sparte? Une armée toujours sous les armes, si ce n'est plutôt un vaste cloître. En effet, si l'on...þ
ÇáÕÝÍÉ 237 - quod in urbibus cives, maxime sacerdotes, nosse atque administrare debent. In quo est, quos deos publice colere, quae sacra et sacrificia quemque par sit." Adhuc quod sequitur adtendamus. " Prima, inquit, theologia maxime accommodata est ad theatrum, secunda ad mundum, tertia ad urbem.þ
ÇáÕÝÍÉ 23 - Elles sont telles , ces notions , qu'un voyageur raisonnable prêt à aborderdes terres inconnues, ne pourrait hasarder aucune conjecture («0 sur la législation, sur les mœurs de ces nouvelles contrées. Rien d'assez bizarre , d'assez extraordinaire, pour qu'on n'en trouve pas un exemple parmi les hommes; et nous voudrions encore disputer sur des principes généraux, des lois primitives , des causes finales ? Défions-nous de ces sublimes rêveries que le génie seul fait excuser, et contentons-nous...þ
ÇáÕÝÍÉ 35 - ... peut révoquer en doute. Si l'on ajoute que cette liberté est indéfinie par sa nature et qu'elle ne peut être limitée dans chaque individu que par celle d'un autre individu, c'est encore exprimer une vérité qui trouvera peu de contradicteurs dans ce siècle éclairé. Quiconque envisagera la société sous son véritable point de vue n'y verra donc que des efforts et des résistances, et quiconque voudra se former une idée juste du gouvernement le considérera comme l'équilibre qui doit...þ
ÇáÕÝÍÉ 60 - Combien faut-il qu'un homme travaille de jours dans l'année , ou d'heures dans la journée, pour se procurer ce qui est nécessaire à la conservation et à l'aisance de sa vie ? Ces deux questions résolues , il sera aisé de trouver combien il reste à chaque homme de jours dans l'année ou d'heures dans la journée qui soient disponibles, c'est-à-dire qu'on puisse lui demander, sans prendre sur sa subsistance et son bien-être ; de sorte que tout ce qui nous reste à faire , c'est d'examiner...þ
ÇáÕÝÍÉ 108 - ... tout lieu de croire que si les esclaves des colonies avaient été des Européans, ils seraient déjà rentrés dans leur droit de citoyen, comme les serfs de notre gouvernement féodal ont peu à peu recouvré la liberté civile ; enfin que le nombre des esclaves est bien moins considérable de nos jours, puisqu'il est borné aux seules colonies à sucre, et que sur plus de cent millions de chrétiens qui existent à présent, on ne compte assurément pas un million (?) d'esclaves, tandis que...þ
ÇáÕÝÍÉ 266 - Ipsum autem verum ac summum bonum Plato dicit Deum, unde vult esse philosophum amatorem Dei ut, quoniam philosophia ad beatam vitam tendit, fruens Deo sit beatus qui Deum amaverit.þ
ÇáÕÝÍÉ 27 - Toutes les nations ne peuvent avoir le même gouvernement; dans une même nation, toutes les villes, toutes les classes des citoyens ne peuvent avoir les mêmes lois , la même police et les mêmes usages ; mais tous généralement peuvent prétendre au plus grand bonheur possible.þ