Œuvres complettes de M. Helvétius, ÇáãÌáÏ 4

ÇáÛáÇÝ ÇáÃãÇãí
 

ÇáãÍÊæì

ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ

ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ

ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ

ÇáÕÝÍÉ 216 - L'enfer s'émeut au bruit de Neptune en furie. Pluton sort de son trône, il pâlit, il s'écrie; II a peur que ce dieu, dans cet affreux séjour, D'un coup de son trident ne fasse entrer le jour, Et, par le centre ouvert de la terre ébranlée, Ne fasse voir du Styx la rive désolée; Ne découvre aux vivants cet empire odieux, Abhorré des mortels, et craint même des dieux1.þ
ÇáÕÝÍÉ 14 - MAXIME On ne plaint jamais dans autrui que les maux dont on ne se croit pas exempt soi-même.þ
ÇáÕÝÍÉ 4 - ... à remplir fon engagement ; & que fi jamais il y manque , ce menfonge attire fur lui des maux qu'il voie fortir de l'ordre même des chofes , & non pas de la vengeance de fon Gouverneur, ûlais loin d'avoir befoin de recourir à de fi cruels expédiens , je fuis...þ
ÇáÕÝÍÉ 35 - Qu'on ne s'étonne point des contradictions de ce célèbre écrivain. Ses observations sont presque toujours justes, et ses principes presque toujours faux et communs : de là ses erreurs. Peu scrupuleux examinateur des opinions généralement reçues, le nombre de ceux qui les adoptent lui en impose.þ

ãÚáæãÇÊ ÇáãÑÇÌÚ