St Jean Chrysostome considéré comme orateur populaireHachette, 1858 - 398 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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accusé âme Annam Antioche applaudissements Arcadius arguments auditoire avaient Bernard de Montfaucon besoin Bossuet c'était caractère charité choses christianisme Chry Chrysost Chrysostôme clergé cœur concile condamnation Constantinople coupable crime d'Antioche Démosthènes devant Dieu Diodore de Tarse discours ecclésiastiques éclat éloquence empereurs enfants ennemis Ephes Epist esprit Eudoxie eût Eutrope évêque exordes femme force foule Gaïnas génie Grecs Grégoire de Nazianze haine homélies hommes humaine jamais Jean Jésus-Christ jour juifs l'âme l'archevêque l'auditoire l'aumône l'Eglise l'éloquence l'empereur l'esprit l'Evangile l'évêque l'homme l'impératrice langage Lazare Libanius Livres saints lui-même malheureux ment misères mœurs monde morale multitude non-seulement œuvres Olympias orateur païens Palladius paroles passions pauvres péché pécheur pensée peuple philosophie prédicateur prêtre puissant qu'un raison religion reste riches rien s'il sais semble sentiments seul Sévérien société Socrate sostôme souffrances souvent Sozomène style surtout terrible teur Théodose Théophile tion tôme triomphe vérité vertus vices violent voilà yeux Zosime
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ÇáÕÝÍÉ 156 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire...þ
ÇáÕÝÍÉ 209 - Nulle puissance humaine ne peut forcer le retranchement impénétrable de la liberté du cœur. La force ne peut jamais persuader les hommes ; elle ne fait que des hypocrites. Quand les rois se mêlent de religion , au lieu de la protéger, ils la mettent en servitude. Accordez à tous la tolérance civile...þ
ÇáÕÝÍÉ 209 - Mais de quoi s'agit-il dans le ministère apostolique? Si vous ne voulez qu'intimider les hommes, et les réduire à faire certaines actions extérieures, levez le glaive; chacun tremble, vous êtes obéi. Voilà une exacte police, mais non pas une sincère religion. Si les hommes ne font que trembler, les démons tremblent autant qu'eux, et haïssent Dieu. Plus vous userez de rigueur et de contrainte, plus vous courrez risque de n'établir qu'un amour-propre masqué et trompeur.þ
ÇáÕÝÍÉ 209 - Pour faire aimer, il faut entrer au fond des cœurs; il faut en avoir la clef; il faut en remuer tous les ressorts; il faut persuader, et faire vouloir le bien , de manière qu'on le veuille librement et indépendamment de la crainte servile. La force peut-elle persuader les hommes...þ
ÇáÕÝÍÉ 254 - Virgile dans leurs écoles , mais par la tradition des Pères , pour la confirmation de la foi et la correction des mœurs. Ils cherchaient à émouvoir, non pas tant par la véhémence des figures et l'effort de la déclamation, que par la grandeur des vérités qu'ils prêchaient , par l'autorité de leur charge, leur sainteté personnelle, leur charité (1). « Ils proportionnaient leur style à la portée de leurs auditeurs.þ
ÇáÕÝÍÉ 267 - Or, il arriva que le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d'Abraham ; le riche mourut aussi, et fut enseveli.þ
ÇáÕÝÍÉ 157 - C'est ce que je me propose de vous faire entendre avec le secours de la grâce. PREMIER POINT. Le docte et éloquent saint Jean-Chrysostome nous propose une belle idée pour connaître les avantages de la pauvreté sur les richesses. Il nous représente deux villes , dont l'une ne soit composée que de riches , l'autre n'ait que des pauvres dans son enceinte; et il examine ensuite laquelle des deux est la plus puissante.þ
ÇáÕÝÍÉ 313 - Gratia enim estis salvati per fidem, et hoc non ex vobis: Dei enim donum est, non ex operibus, ut ne quis glorietur.þ
ÇáÕÝÍÉ 367 - Depuis le péché originel, l'homme est tout enfoncé dans les choses sensibles ; c'est là son grand mal : il ne peut être longtemps attentif à ce qui est abstrait. Il faut donner du corps à toutes les instructions qu'on veut insinuer dans son esprit...þ
ÇáÕÝÍÉ 388 - Celui qui aime son père et sa mère plus que moi n'est pas digne de moi ; celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n'est pas digne de moi.þ