Principes de droit civil français, ÇáãÌáÏ 11

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Bruylant-Christophe & Cie, 1878 - 688 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

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Y atil des différences entre lobligation de lenfunt naturel et celle qui incombc
50
Application du principe à la cession des créances et à la saisiearrét p
56
Application de larticle 883 à la cession de la créance p
62
Quid des successeurs anomaux ? Renvoi p
65
Des légalaires et des donataires universels ou à lire universel p
71
Quand des héritiers légitimes concourent avec des successeurs non saisis ceuxci
77
Quels sont les motifs de cette disposition ? p
84
Que fautil entendre dans larticle 870 par le mot prends p
90
Que fautil entendre dans larticle 871 par le mot émolument ? p
91
Quid en cas dinsolvabilité de lun des successeurs ? p
99
Le testament doit contenir une disposition de biens sauf duns les cas où la
103
La doctrine coutumière vi la doctrine romaine p
107
Les testaments doivent être lexception et les successions ab intestal la régle p
116
Les congregations alors même quelles sont hospitalières ne peuvent pas être
122
Définition La donation estelle un contrat? p
124
Le testament est essentiellement révocable p
131
10 bis Opinion de CoinDelisle el de Demolombe Opinion de Dalloz p 158
140
Le jugement qui rejette la demande en interdiction donnetil lexception de chose
147
Comment se fait la preuve de la démence ? p
153
124 Fautil que le disposant soit sain de corps ? p
162
Quand lerreur vicielelle la donation ou le testament? p
169
Donations faites à une congregation religieuse sous forme dun contrat à titre
172
La captation et la suggestion ne vicient les acles à titre gratuit que lorsquelles sont
176
Qui peut agir en nullité pour cause dinsanité desprit? p
184
Motifs de lincapacité et de la capacité relative des mineurs p
190
lit Alon égard pour régler la quotié des biens dont un mineur peut disposer
196
lorsquelle se fait par écrit? p
203
Décret du 3 messiilor an xn Donnetil au gouvernement le droit de conférer
210
De là la fraude à la lui que la doctrine et la jurisprudence qualifieat de délit
217
Société formée pour la recontitution de labbaye tAverbode Donations faites
227
Les héritiers légilimes peuventils altaquer la donation quoiquils soient exhé
230
Objection tirée de larticle 911 Réponse p
236
La fraude reconstitue la mainmorte p
242
Les fabriques peuventelles recevoir une libéralité pour lenseignement laique
243
Les détenteurs des biens doiventils restituer les fruits comme possesseurs
249
Édit de MarieThérèse de 17 3 p
258
Peuton faire une libéralité pour la création dun établissement? p
265
La condition ajoutée à une fondation que lenseignement sera donné par les petit
269
Les établisements étrangers régulièrement reconnus peuventils recevoir
272
Peuton fai une libéralilé à une commune pour favoriser lenseignement supé
283
Objet et limite de la charité publique Quels sont les élablissements et les corpo
290
bis A qui profite la réduction ou la transaction intervenue entre létablissement
291
Les hospices peuvent recevoir des dons el legs pour linstruction des orphelins
297
Pratique administrative en Belgique p 304
304
Le legs fait en faveur dun atelier de charité doit être recueilli par la commune
318
Motifs sur lesquels est fondée la présomption dinterposition de larticle 911 p
323
Quelles sont leurs attributions ? p
324
Pratique administrative en Belgique p
330
Critique de la jurisprudence administrative p
337
Jurisprudence belge Critique dun arrel de la cour de Bruxelles p
340
En dehors de leurs attributions légales les fabriques sont incapables de recevoir
347
Loi communale article 84 et loi interprétative de 1859 p
353
Peutil encore y avoir à lavenir des fondations avec administraleurs spéciaux
359
Application du principe à la clause dinaliénabilité p
365
Lautorisation est dordre public Conséquences qui en résultent p
404
Comment se fait lacceptation des donations et des legs ? Conséquences qui en ésultent p
405
Lautorisation daccepter les legs rétroagitelle au jour de louverture ? p
406
Application du principe aux legs universels p
408
Application du principe aux legs qui ne donnent pas la saisine au légataire p
410
Quand le gouvernement réduit le legs universel à une quotité de biens le legs restelil néanmoins universel ? Critique de la jurisprudence p
412
Les dons manuels sontils soumis à lautorisation ? p
413
Jurisprudence administrative du conseil dÉtat p
414
Pratique administrative en Belgique Larticle 76 de la loi communale dérogetil
415
Lautorisation nécessaire pour les dons manuels doitelle èire suivie dune accep tation? Peutelle encore etre donnée après la mort du donateur? Critique...
416
profit dune personne incapable suffitelle pour quil y ait fideicommis? p 552
418
Les dons manuels non autorisés sont nuls le donateur et ses héritiers peuvent les répéter p
421
Y atil des exceptions à la règle de lautorisation ? Quid des établissements ecclésiastiques ? s
423
Droit romain Constitution de Justinien p
424
De lancien droit français p
425
Le vrai principe est celui du droit romain p
426
Ce principe ne sapplique pas aux fondations faites dans un intérêt général p
427
Tel est le legs fait pour les pauvres p
428
Quid du legs fait aux pauvres honteux ? Le bureau de bienfaisance doitil accepter ce legs? p
429
Avis du conseil dÉtat sur cette question et jurisprudence française p
430
Le legs fait pour les pauvres reçus dans un établissement non autorisé estil
432
Quid du legs fait pour les trépassés ? p
434
Quid si le testateur fait un legs destiné à de bonnes cuvres? Dans quel cas peutil
438
Incertitude de la jurisprudence Legs identiques maintenus ou annulés sans quil
447
Le mineur peutil tester au profit de celui qui a été son tuteur ? p
456
Exceplion établie par larticle 907 Motifs p
464
Quentendon par maladie dont le malade est mort ? p
468
Fautil que lacle porte que la disposition est faite à titre rémunératoire? p
475
Le mari médecin estil capable de recevoir? Critique de lopinion générale p 182
484
Étendue et raison de la prohibition p
490
Quid sils sont reconnus par lestament olographe ? Quid si le même lestament
496
qui leur sont faites sontelles nulles ou réductibles? p
501
Quand le donateur et le donataire ne sont pas présents a lacte le donaleur doit être
507
Le légataire doitil être capable lors du testament? Critique dun arret de la cour
513
Des fraudes à la loi Nécessité dune sanction p
519
Quid des autres ascendants de lincapable? p
527
La présomption de larticle 911 nadmet pas la preuve contraire sauf lapplication
533
Différence entre linterposition de fait et linterposition présumée p
540
Objection contre la doctrine consacrée par la jurisprudence et réponse p
546
libéralité serait faite sous la forme dun contrat onéreux ou sous le nom
553
Application du principe aux cas prévus par les articles 907909 p
559
Motifs que lon donne pour justifier la différence que larticle 900 établit entre
565
Si la condition atleste la folie du disposant on applique larticle 901 p
572
Les conditions contraires à lordre public sont illicites Application à la filiation
586
La condition qui implique une convention sur une succession future est illicite
592
Quid de la clause qui donne à lexécuteur testamentaire ladministralion
598
Le donateur et le testateur peuventils déclarer insaisissables les immeubles
615
La clause pénale qui tend à écarter laction en nullité fondée sur la captation et
622
Quid si le testateur a dérogé à larticle 826 mais sans porter atteinte à la réserve
628
Quand y atil contravention? La peine estelle seulement comminatoire ? p 676
637
La condition de ne pas se marier peutelle él se considérée comme licite daprès
643
Quid de la condition de ne pas se remarier ? Changements dans la législation
649
La condition de ne pas se faire prèire estelle licite ?
656
La jurisprudence consacre ces principes quant à la cause illicile p
662

ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ

ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ

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ÇáÕÝÍÉ 581 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.þ
ÇáÕÝÍÉ 286 - Ceux qui seront choisis pour l'enseignement dans les séminaires souscriront la déclaration faite par le clergé de France en 1682 , et publiée par un édit de la même année: ils se soumettront à y enseigner la doctrine qui y est contenue, ct lt;s évêques adresseront une expédition en forme de cette soumission au conseiller d'État chargé de toutes les affaires concernant les cultes.þ
ÇáÕÝÍÉ 124 - La donation entre-vifs est un acte par lequel le donateur se dépouille actuellement et irrévocablement de la chose donnée, en faveur du donataire qui l'accepte.þ
ÇáÕÝÍÉ 511 - Par la mort civile, le condamné perd la propriété de tous les biens qu'il possédait ; sa succession est ouverte au profit de ses héritiers, auxquels ses biens sont dévolus, de la même manière que s'il était mort naturellement et sans testament.þ
ÇáÕÝÍÉ 581 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 581 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.þ
ÇáÕÝÍÉ 57 - Chaque cohéritier est censé avoir succédé seul et immédiatement à tous les effets compris dans son lot, ou à lui échus sur licitation, et n'avoir jamais eu la propriété des autres effets de la succession.þ
ÇáÕÝÍÉ 73 - Les héritiers sont tenus des dettes et charges de la succession, personnellement pour leur part et portion virile, et hypothécairement pour le tout; sauf leur recours, soit contre leurs cohéritiers, soit contre les légataires universels, à raison de la part pour laquelle ils doivent y contribuer.þ
ÇáÕÝÍÉ 493 - La reconnaissance faite pendant le mariage, par l'un des époux, au profit d'un enfant naturel qu'il aurait eu, avant son mariage, d'un autre que de son époux, ne pourra nuire ni à celuici , ni aux enfans nés de ce mariage.þ
ÇáÕÝÍÉ 616 - Quiconque est obligé personnellement est tenu de remplir ses engagements sur tous ses biens mobiliers ou immobiliers présents et à venir.þ

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