Œuvres philosophiques de Vanini

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Libraire de Charles Gosselin, 1842 - 321 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

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ÇáÕÝÍÉ 220 - Jésus-Christ nous apprenant lui-même que son royaume n'est pas de ce inonde, et, en un autre endroit. qu'il faut rendre à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu...þ
ÇáÕÝÍÉ 251 - ait : " deus, ecce, deus ! " Cui, talia fanti Ante fores, subito non vultus, non color unus, Non comptae mansere comae; sed pectus anhelum, Et rabie fera corda tument ; majorque videri, Nee mortale sonans, afflata est numine quando 50 ^ Jam propiore dei. " Cessas in vota precesque, Tros " ait " Aenea ? cessas ? neque enim ante dehiscent Attonitae magna ora domus ; þ
ÇáÕÝÍÉ 9 - Un dieu, de l'univers architecte suprême, Ou la nature enfin, se corrigeant soi-même, Sépara dans les flancs du ténébreux chaos Et les cieux de la terre et la terre des eaux, Et l'air moins épuré de la pure lumière. Quand il eut débrouillé la confuse matière, Entre les éléments séparés à jamais II établit les nœuds d'une éternelle paix.þ
ÇáÕÝÍÉ 22 - Providence par les réponses des oracles. Nous avons lu plusieurs fois dans les historiens, que les statues de pierre des dieux ont manifesté certains avertissements sur les événements futurs. Ce fait prouve sans réplique l'action d'une providence particulière de Dieu sur le monde, car l'événement répondit fort souvent à la prédiction, et personne cependant n'aurait pu le rapporter à une cause naturelle, alors qu'il dépassait de beaucoup les forces de la nature. L'avenir était donc prédit...þ
ÇáÕÝÍÉ 256 - Ultima Cumaei venit jam carminis aetas ; Magnus ab integro saeclorum nascitur ordo. Jam redit et Virgo, redeunt Saturnia regna : Jam nova progenies coelo demittitur alto.þ
ÇáÕÝÍÉ ix - force à croire qu'il ya un Dieu ... Et ayant fini son discours sur » la Providence , il ajouta : Le grain jeté en terre semble d'abord » détruit et commence à blanchir; il devient vert et sort de terre, » il croît insensiblement; les rosées l'aident à s'élever, la pluie lui » donne de la force ; il se garnit d'épis dont les pointes éloignent » les oiseaux; le tuyau s'élève et se garnit de feuilles; il jaunit » et monte encore; peu après il incline la tête, jusqu'à ce qu'il »...þ
ÇáÕÝÍÉ 214 - ... animaux d'une grosseur extraordinaire, dès qu'il a été échauffé par les rayons du soleil. ALEXANDRE. Je ne saurais souscrire à un tel mensonge. JULES CÉSAR. D'autres ont rêvé que le premier homme était né de la pourriture de plusieurs cadavres de singes, de porcs et de grenouilles, car entre la chair et les mœurs de ces animaux et celles de l'homme il ya une grande ressemblance. Cependant, quelques athées plus traitables ne donnent qu'aux Éthiopiens les singes pour ancêtres, parce...þ
ÇáÕÝÍÉ 185 - ... les astres influent, mais ils contraignent, car ce qui est toujours est nécessaire. L'antécédent n'est pas absolument vrai, comme on le voit d'après ce que rapporte Albert , livre i des Animaux, et dans son traité de la Physionomie. Plutarque dit dans le parallèle qu'il fait de Nicias et de Crassus : « L'un ne négligea rien de » ce qui regardait la divination, l'autre la méprisa toujours, et » tous deux ont eu une fin semblable. » Auguste évita de nombreux dangers par la divination,...þ
ÇáÕÝÍÉ 207 - Jamais tu n'abandonnes un être qui a besoin de toi ; de ton propre mouvement, tu donnes tout à toutes choses ; à l'univers tu subordonnes tout et toi-même. « Tu es la force de ceux qui travaillent, le port ouvert aux naufragés, la source éternelle qui répand la fraîcheur dans les eaux. « Repos suprême, paix et calme de nos cœurs, tu es la mesure et le mode des choses, l'espèce et la forme que nous aimons. « C'est toi qui es la règle, le poids, le nombre, la beauté ; toi qui es l'ordre,...þ
ÇáÕÝÍÉ 219 - Que celui d'entre vous qui est sans péché lui jette la première pierre ! » Jésus perça au cœur l'hypocrisie, et du même coup signa son arrêt de mort.þ

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