Histoire philosophique de la révolution de France, depuis la première Assemblée des notables jusqu'a la paix de Presbourg, ÇáãÌáÏ 7

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Impr. des freres Mame, 1807
 

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ÇáÕÝÍÉ 290 - D'autres guidons porteront ces mots : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, » l'insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion » du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable » des devoirs. » Ceux qui usurpent la souveraineté doivent être mis à þ
ÇáÕÝÍÉ 109 - Tant de succès ont porté la joie dans le sein de la patrie; vos représentants ont ordonné une fête dédiée à vos victoires, célébrée dans toutes les communes de la République. Là, vos pères, vos mères, vos épouses, vos sœurs, vos amantes se réjouissent de vos succès et se vantent avec orgueil de vous appartenir. Oui , soldats, vous avez beaucoup fait; mais ne vous reste-t-il donc plus rien à faire?þ
ÇáÕÝÍÉ 75 - Hollande et du Rhin. Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain. Les phalanges républicaines, les soldats de la liberté...þ
ÇáÕÝÍÉ 369 - Le Pape a refusé de répondre aux avances officielles qui lui ont été faites par le citoyen Cacault , ministre de la République française , pour l'ouverture d'une négociation de paix.þ
ÇáÕÝÍÉ 100 - ... l'on égare ce pauvre peuple pour le conduire à sa perte. Le général en chef, fidèle aux principes qu'a adoptés...þ
ÇáÕÝÍÉ 139 - J'aurais été autorisé, par les lois de la guerre, à le faire juger par une commission militaire ; mais par respect pour votre altesse royale , intimement persuadé de l'esprit de justice qui caractérise toutes vos actions, j'ai préféré de l'envoyer à Florence, convaincu qu'elle donnera des ordres pour le faire punir sévèrement. þ
ÇáÕÝÍÉ 77 - Mondovi; tous brûlent de porter au loin la gloire du peuple français; tous veulent humilier ces rois orgueilleux qui osaient méditer de nous donner des fers; tous veulent dicter une paix glorieuse , et qui indemnise la patrie des sacrifices immenses qu'elle a faits ; tous veulent en rentrant dans leurs villages, pouvoir dire avec fierté: J'étais de [armée conquérante de l'Italie....þ
ÇáÕÝÍÉ 75 - ... conquis la partie la plus riche du Piémont ; vous avez fait quinze mille prisonniers, tué ou blessé plus de dix mille hommes ; vous vous étiez jusqu'ici battus pour des rochers stériles, illustrés par votre courage, mais inutiles à la patrie ^ vous égalez aujourd'hui, par vos services, l'armée de Hollande et du Rhin.þ
ÇáÕÝÍÉ 110 - Scipinn, et des grands hommes que nous avons pris pour modèles. « Rétablir le Capitole, y placer avec honneur les statues des héros qui le rendirent célèbre ; réveiller le peuple romain, engourdi par plusieurs siècles d'esclavage : tel sera le fruit de vos victoires; elles feront époque dans la postérité; vous aurez la gloire immortelle de changer la face de la plus belle partie de l'Europe. þ
ÇáÕÝÍÉ 109 - Piémont, délivré de la tyrannie autrichienne, s'est livré à ses sentiments naturels de paix et d'amitié pour la France. Milan est à vous et le pavillon républicain flotte dans toute la Lombardie. Les ducs de Parme et de Modène ne doivent leur existence politique qu'à votre générosité.þ

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