Histoire des institutions de Moïse, et du peuple hébreu, ÇáãÌáÏ 1 |
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anciens année appelé arrive assemblées aurait avaient avant besoins breux cause cent champ chargés chefs choses circonstances cité citoyens conduite conseil conséquence conservation contraire d'après d'autres d'Israël déclare derniers devant Dieu dire doit donner Égyptiens enfans Enfin esprit établi facultés faisait famille fils fonctions fond force former générale génie Grèce guerre haut Hébreux hommes intérêts Israël j'ai Jéhovah jours Juda juges Juifs l'assemblée l'esprit l'état l'homme l'intérêt l'ordre laisser législateur Lévi liberté lieu livres loin lois lui-même mains manière mille Moïse moyen n'était nation nature nombre parle parole partage particulier passait pays peine pensée père personne peuple porter pouvait première présenter prêtres prince principaux prophète propose propre propriété public publique qu'une question raison rapport reste rien rois s'il sacerdotes sacrés sage sénat sera servir seul siècles sorte souvent suivant sujet surtout temple terre tête texte tion traite tribus trouve vérité villes voyant yeux
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ÇáÕÝÍÉ 67 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.þ
ÇáÕÝÍÉ 43 - Tu NE CONVOITERAS POINT la femme de ton prochain; tu ne désireras point la maison de ton prochain, ni son champ, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.þ
ÇáÕÝÍÉ 101 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même; Qu'il doit immoler tout à sa...þ
ÇáÕÝÍÉ 179 - Un homme vit une couleuvre : Ah ! méchante, dit-il , je m'en vais faire une œuvre Agréable à tout l'univers ! A ces mots l'animal pervers (C'est le serpent que je veux dire, Et non l'homme : on pourroit aisément s'y tromper...þ
ÇáÕÝÍÉ 179 - Sans herbe : s'il voulait encor me laisser paître ! Mais je suis attachée ; et si j'eusse eu pour maître Un serpent, eût-il su jamais pousser si loin L'ingratitude? Adieu: j'ai dit ce que je pense.þ
ÇáÕÝÍÉ 16 - Pour qu'un peuple naissant pût goûter les saines maximes de la politique et suivre les règles fondamentales de la raison d'état, il faudrait que l'effet pût devenir la cause ; que l'esprit social, qui doit être l'ouvrage de l'institution, présidât à l'institution même ; et que les hommes fussent avant les lois ce qu'ils doivent devenir par elles.þ
ÇáÕÝÍÉ 16 - Mais il n'appartient pas à tout homme de faire parler les dieux, ni d'en être cru quand il s'annonce pour être leur interprète. La grande âme du législateur est le vrai miracle qui doit prouver sa mission.þ
ÇáÕÝÍÉ 201 - , entre mille roseaux, Le Rhin tranquille, et fier du progrès de ses eaux. Appuyé d'une main sur son urne penchante, Dormait au bruit flatteur de son onde naissante, Lorsqu'un cri, tout à coup suivi de mille cris, Vient d'un calme si doux retirer ses esprits.þ
ÇáÕÝÍÉ 57 - Il ya une troisième sorte de Religion plus bizarre, qui donnant aux hommes deux législations, deux chefs, deux patries, les soumet à des devoirs contradictoires et les empêche de pouvoir être à la fois dévots et Citoyens. Telle est la Religion des Lamas, telle est celle des Japonais, tel est le christianisme Romain. On peut appeler celle-ci la religion du Prêtre.þ
ÇáÕÝÍÉ 43 - Tu ne tueras point. Tu ne commettras point d'adultère. Tu ne déroberas point. Tu ne diras point de faux témoignage contre ton prochain. Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain. Tu ne convoiteras point la...þ