MémoiresAu siège de la Société, 1906 |
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
14 novembre 1792 dans l'armée 1er septembre 1792 1re compagnie 21 juin 30 octobre août armée de Condé armée des princes Blanc Indre Bouneault campagne de 1792 capitaine au régiment cavalerie Charente-Inférieure Châtellerault Vienne cheval d'Angoulême cheval des gentilshommes chevalier de Saint-Louis Civray Vienne compagnie à cheval compagnie nº compagnie noble d'ordonnance comte Confolens Charente d'Aubigné district de Châtellerault district de Civray district de Confolens district de Lusignan district de Melle district de Montmorillon district de Niort district de Poitiers district de Saint-Maixent domicilié à Poitiers domicilié et proprié domicilié et propriétaire émigra le 14 François garde du corps gentilshommes du Poitou l'armée de Condé l'armée des princes listes des 20 Lusignan Vienne Melle Deux-Sèvres Mme de Maintenon Montmorillon Vienne Mursay Niort Deux-Sèvres noble à cheval noble à pied officier au régiment Poitiers Vienne priétaire régiment noble Ruffec Charente Saint-Maixent Deux-Sèvres servit à l'armée Sèvres surnommé volontaire à l'armée
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 118 - me chercher, et m'emmena seule à Saint-Germain. Je pleurai « d'abord beaucoup; mais je trouvai le lendemain la messe du roi « si belle, que je consentis à me faire catholique, à condition « que je l'entendrais tous les jours, et qu'on me garantirait du « fouet. C'est là toute la controverse qu'on employa, et la seule þ
ÇáÕÝÍÉ 117 - Niort, que ma tante, accoutumée à changer de religion, et qui venoit de se convertir pour la seconde ou la troisième fois, partit de son côté, et m'emmena à Paris.þ
ÇáÕÝÍÉ 118 - Je l'amenai avec moi; elle pleura un moment, quand elle se vit seule dans mon carrosse; ensuite elle fut quelque temps sans rien dire, et après cela elle se mit à chanter. Elle a dit...þ
ÇáÕÝÍÉ 119 - J'espère qu'il ne prendra pas si sérieusement l'enlèvement de sa fille, et qu'il consentira qu'elle demeure avec moi jusqu'à ce qu'elle soit en âge de dire sa volonté. Ne la plaignez point ; elle se trouve fort bien ici, et je suis ravie de lavoir; elle est jolie et aimable, et le talent que j'ai pour l'éducation des. enfants sera tout employé pour elle. Adieu, ma chère cousine ; votre lettre me fait pitié, ou pour mieux dire votre état.þ
ÇáÕÝÍÉ 125 - Je me contraignais beaucoup; mais cela ne me coûtait rien, pourvu que j'eusse une belle réputation : c'était là ma folie. Je ne me souciais pas de richesses; j'étais élevée de cent piques au-dessus de l'intérêt; mais je voulais de l'honneur...þ
ÇáÕÝÍÉ 113 - Je me souviens encore que ma cousine et moi, qui étions à peu près du même âge, nous passions une partie du jour à garder les dindons de ma tante. On nous plaquoit un masque sur notre nez, car on avoit peur que nous ne nous...þ
ÇáÕÝÍÉ 96 - On ne vous laira pas, simples, de si grand prix, Sans vous voir et flairer au céleste pourpris ; Une rose d'automne est plus qu'une autre exquise , Vous avez éjoui l'automne de...þ
ÇáÕÝÍÉ 120 - point : avec tout autre que vous j'essuierois de « plus grandes aigreurs; je ne suis point trompée « dans votre procédé, et, quoi qu'on m'ait pu « dire, j'ai soutenu que rien ne vous feroit emporþ
ÇáÕÝÍÉ 128 - Jamais un visage si spirituel, si touchant, si parlant, jamais une fraîcheur pareille, jamais tant de grâces ni plus d'esprit, jamais tant de gaieté et d'amusement, jamais de créature plus séduisante.þ