Guide du médecin praticien; or, Résumé général de pathologie interne et de thérapeutique appliquées, المجلد 5

الغلاف الأمامي
J.B. Baillière, 1851
 

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عبارات ومصطلحات مألوفة

مقاطع مشهورة

الصفحة 289 - Toutefois la compression seule suffit dans le plus grand nombre des cas ; les scarifications me semblent aujourd'hui d'une application assez rare : lorsqu'on croit devoir les pratiquer, elles doivent être faites à une assez grande distance les unes des autres , afin que les cercles inflammatoires, qui peuvent se développer autour d'elles, ne se réunissent pas. Ordinairement l'inflammation , produite par vingt ou trente scarifications d'un demi-pouce à un pouce pratiquées sur un membre est peu...
الصفحة 267 - Dans quelques cas bien rares, dit-il, la maladie semble n'affecter que les couches les plus superficielles du derme. On l'observe surtout alors à la face et aux joues en particulier. Il ne se développe pas de tubercules, il ne se forme pas de croûtes, mais la peau prend une teinte rouge ; des exfoliations...
الصفحة 582 - ... à l'empotage de la céruse broyée à l'eau ; » Par le broyage à l'huile, dans la fabrique même, à l'aide d'appareils convenables, de toute la céruse qui subit cette manipulation avant d'être mise en œuvre ; » Par la clôture dans des chambres isolées des ateliers, de tous les mécanismes servant à la pulvérisation, tamisage ou blutage à sec de la céruse, lorsque ces opérations sont indispensables. On préviendrait l'issue de la poussière par les ouvertures nécessaires...
الصفحة 463 - Il est évident que de semblables distinctions n'ont qu'un faible intérêt. Mais il ya plus : est-ce que, même lorsque les malades ont les symptômes que je viens d'indiquer, ils ne sont pas notablement affaiblis ? Il ya donc déjà de l'adynamie. Est-ce qu'ils n'ont pas des vertiges , de' l'agitation, des rêvasseries? Il ya donc de l'ataxie. Est-ce qu'ils n'ont pas la bouche pâteuse, des nausées, parfois des vomissements ? Voilà le caractère bilieux. Je pourrais passer ainsi en revue tous...
الصفحة 217 - Ces onctions et ces lotions sont répétées avec soin pendant quatre ou cinq jours jusqu'à ce que le cuir chevelu soit : nettoyé : c'est alors que commence le second temps du traitement, qui a pour but d'obtenir lentement et sans douleur l'avulsion des cheveux sur tous les points où le favus s'est développé. » On fait tous les deux jours des onctions avec une pommade épilatoire.
الصفحة 218 - ... les points affectés, pendant quinze jours ou un mois, suivant la gravité de la maladie. Après ce terme on ne fait plus ces onctions que deux fois par semaine, jusqu'à ce que les rougeurs de la peau aient entièrement disparu. Les jours où l'on ne fait pas usage de la pommade, on peigne le malade une ou deux fois, ayant soin de ne p;is trop appuyer le peigne, qu'on imprègne de saindoux ou d'huile.
الصفحة 563 - Aussitôt qu'on est piqué par le serpent, sur-le-champ même, sans faire un pas de plus, placer une ligature à un pouce au-dessus de la piqûre, avec une cravate ou une bretelle ; serrer convenablement ; 2» Examiner les plaies, en reconnaître le nombre, juger, par l'intervalle qui sépare l'empreinte, des crocs de la grosseur du serpent...
الصفحة 463 - La première est la fièvre typhoïde inflammatoire. Elle existe surtout au début, et est caractérisée par la plénitude, la fréquence du pouls, la chaleur, etc. Qui ne voit d'abord qu'une forme qui ne se montre qu'au début a déjà quelque chose de singulier ? La maladie pourra donc avoir toutes les formes : au début, inflammatoire ; plus tard, bilieuse ; plus tard encore, nerveuse; enfin, adynamique? Il est évident que de semblables distinctions n'ont qu'un faible intérêt. Mais il ya plus...
الصفحة 190 - Le temps qui sépare ces deux étals est quelquefois impossible à saisir ; souvent il n'est que de quelques heures. Les bulles, dont le volume varie depuis celui d'un pois jusqu'à celui d'une noisette, ou même d'une amande, forment quelquefois, en se confondant, quand l'éruption est confluentc, de vastes ampoules qui égalent le volume d'un œuf d'oie.
الصفحة 575 - Lorsque, dans les cas que j'étudie actuellement, les malades reprennent connaissance, ils ne jouissent pas immédiatement de la plénitude de leurs facultés intellectuelles; ils ne se rappellent ni leur attaque ni souvent les circonstances qui l'ont précédée; leur physionomie porte l'empreinte d'une stupeur profonde; leurs membres sont tremblants ; ils chancellent s'ils sont debout, et ne saisissent les objets extérieurs qu'avec hésitation ; leurs idées sont confuses; leur parole est lente,...

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