Collection complete des memoires relatifs a l'histoire de France, depuis le regne de Philippe Auguste jusqu'au commencement du dix-septieme siecle

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Foucault., 1826
 

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ÇáÕÝÍÉ 109 - C'a été pour en venir à bout que, pendant les rigueurs de l'hiver, nous avons entrepris les voyages de Normandie et de Bourgogne, afin d'affermir par notre présence le repos de nos peuples dans ces deux provinces, et empêcher l'effet des menées et cabales qu'on y avoit faites pour les jeter dans la désobéissance. Nous n'avons pas eu peine en ces occasions de nous résoudre à préférer les voies de la douceur et du pardon à celles des armes ou de la justice, lorsque nous avons fait réflexion...þ
ÇáÕÝÍÉ 116 - CAR tel est notre plaisir. En témoin de quoi Nous avons fait mettre notre scel à cesdites Présentes. DONNÉ à Versailles le neuvième jour du mois d'Août, l'an de grâce mil sept cent soixante dix sept, et de notre Règne le quatrième, Signé : Louis : et plus bas.þ
ÇáÕÝÍÉ 116 - ... qu'il y soit contrevenu en quelque sorte et « manière que ce soit; car tel est notre plaisir. En « témoin de quoi nous avons fait mettre notre scel à þ
ÇáÕÝÍÉ 386 - Bien que je n'aie jamais vu homme plus ontré de déplaisir qu'étoit M. le grand d'un traitement si injurieux, il n'eut d'autre voie à choisir que celle de le souffrir, et de se retirer dans sa chambre où j'étois seul.þ
ÇáÕÝÍÉ 402 - Quand je lui demandai comme quoi il l'avoit appris, il me déclara en confiance , fort franchement , qu'il le savoit de la Reine, et qu'elle le tenoit de Monsieur. A la vérité je ne la croyois pas si bien instruite , quoique je n'ignorasse pas que Sa Majesté eût fort souhaité qu'il se pût former une cabale dans la cour, et qu'elle y avoit contribué de tout son pouvoir, pour ce qu'elle n'en pouvoit que profiter, soit en ruinant M.þ
ÇáÕÝÍÉ 164 - J-4 je lui avois envoyée de Bourges par Desrechaux. Je fis une petite récapitulation de tout ce que j'avois dit à la princesse douairière en particulier, de ce qui me paroissoit des intentions du cardinal , et de l'opinion qu'en avoient les plus éclairés de la cour.þ
ÇáÕÝÍÉ 212 - Les gens de ce caractère n'exécutent rien , et par cette raison ils conseillent tout. Laigues n'avoit qu'un fort petit sens ; mais il étoit très-brave et très-présomptueux. Les esprits de cette nature osent tout ce que ceux en qui ils ont confiance leur persuadent.þ
ÇáÕÝÍÉ 411 - Rivière pour nous dire en général qu'il avoit failli , et avoit besoin de notre grâce , sans spécifier particulièrement en quoi. Nous répondîmes que bien qu'il dût être las de nous offenser, et d'agir contre lui-même agissant contre nous et contre l'Etat, nous ne voulions pas nous lasser d'user de notre clémence envers lui; qu'en cette considération nous désirions qu'il nous donnât une entière et sincère confession de sa faute, une déclaration particulière de tous ses desseins...þ
ÇáÕÝÍÉ 109 - contens d'avoir travaillé par diverses pratiques à « allumer le feu de la révolte en plusieurs provinces « de notre royaume , se sont rendus eux-mêmes les « conducteurs de nos plus obstinés ennemis pour « leur faciliter les moyens de nous ravager nos fron...þ
ÇáÕÝÍÉ 419 - Catholique et ledit seigneur duc d'Orléans, en la manière ordinaire et accoutumée en semblables traités. Le comte duc le promet ainsi au nom de Sa Majesté, et ledit sieur de Fontrailles au nom de Son Altesse, s'obligeant respectivement à cela, comme de leur chef ils l'approuvent dès à présent, le ratifient et le signent. A Madrid, le i3 mars 1642.þ

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