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Librairie de Firmin Didot Frères, 1852
 

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ÇáÕÝÍÉ 375 - Les Jésuites auront-ils la victoire? Voilà la question qui agite les cabinets et qui est la source des intrigues , des tracasseries , des embarras de toutes les cours catholiques. En vérité, l'on ne peut pas voir ce tableau de sang-froid sans en sentir l'indécence; et, si j'étais ambassadeur à Rome, je serais honteux de voir le P.þ
ÇáÕÝÍÉ 78 - De tous les coups qui nous ont frappé pendant les neuf malheureuses années de notre pontificat , le plus sensible à notre cœur paternel a été sans contredit celui que Votre Majesté vient de nous porter par sa dernière lettre...þ
ÇáÕÝÍÉ 375 - Etats de la maison de Bourbon. Je crois qu'il a été encore plus mal fait, ces moines renvoyés, de faire à Rome une démarche d'éclat pour la suppression de l'Ordre et d'avertir l'Europe de cette démarche. Elle est faite...þ
ÇáÕÝÍÉ 111 - ... chassés... Bien loin de chercher à leur éviter des mauvais traitements, il semble, au contraire, qu'ils cherchent à les faire naître, dans l'idée de se rendre plus intéressants et de donner un air de persécution à tout ce qu'éprouvé aujourd'hui la société... Il est très-certain, monsieur, et tous les gens qui ne sont pas entraînés par une aveugle prévention en conviennent, que le pape n'a d'autre parti sage à prendre, dans les circonstances présentes, que de séculariser tous...þ
ÇáÕÝÍÉ 42 - Dieu ne plaise , il pouvait arriver qu'il nous fût ordonné par notre Général quelque chose de contraire à cette présente déclaration , persuadés que nous ne pourrions y déférer sans péché , nous regarderions ces ordres comme illégitimes , nuls de plein droit , et auxquels même nous ne pourrions ni ne devrions obéir en vertu des règles de l'obéissance au général, telle qu'elle est prescrite par nos constitutions...þ
ÇáÕÝÍÉ 41 - Louis-le-Grand , Supérieur du Noviciat, et autres Jésuites profès, même des premiers vœux, résidant dans lesdites maisons, renouvelant en tant que de besoin les déclarations déjà données par les Jésuites de France en...þ
ÇáÕÝÍÉ 243 - Solis négocie mystérieusement avec Ganganelli ; il en obtient, dit-on, un billet adressé au roi d'Espagne, et dans lequel Ganganelli reconnaît au souverain pontife le droit de pouvoir éteindre en conscience la société de Jésus, en observant les règles canoniques, n Jusqu'ici le document invoqué n'a rien de bien scandaleux, car le droit n'a jamais pu être contesté.þ
ÇáÕÝÍÉ 92 - ... monarchie espagnole, qu'il s'empressa d'en envoyer des copies à l'ambassadeur de France à Rome , le marquis d'Aubeterre. « Vous aurez attention, ajoutat-il dans une lettre entièrement écrite de sa main, de marquer dans chaque occasion où vous serez dans le cas de parler de cet événement, combien le roi approuve le parti ferme et juste que le roi, son cousin, a pris contre cette société de religieux, dont sans doute il avait à se plaindre grièvement... Je ne doute pas que le renvoi...þ
ÇáÕÝÍÉ 42 - Que nous enseignerons, dans nos leçons de théologie publiques ou particulières, la doctrine établie par le clergé de France dans les quatre propositions de l'assemblée de 1682, et que nous n'enseignerons jamais rien qui y soit contraire...þ
ÇáÕÝÍÉ 482 - ... des peuples qui nous sont confiés, quand on manque envers celui qui brise les sceptres et renverse les trônes comme il lui plaît. Aimez donc vos devoirs envers Dieu ; je vous le dis, mon cher Dauphin, et je le dis à ma fille ; aimez le bien des peuples sur lesquels vous régnerez toujours trop tôt.þ

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