Collection des chroniques nationales français: écrites en langue vulgaire du treizième au seizième siècle, ÇáãÌáÏ 12

ÇáÛáÇÝ ÇáÃãÇãí
Jean Alexandre C. Buchon
Verdière [et] J. Carez, 1824
 

ÇáãÍÊæì

ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ

ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ

ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ

ÇáÕÝÍÉ 340 - Navarrois que ils étoient maîtres et seigneurs du plat pays et des rivières et aussi des cités et des bonnes villes: dont un si cher temps en vint en France que on vendoit un tonnelet de harengs trente écus, et toutes autres choses à l'avenant; et mouroient les petites gens de faim dont c'étoit grand' pitié; et dura cette dureté et ce cher temps plus de quatre ans.þ
ÇáÕÝÍÉ 37 - Anglois, à cette besogne attendirent longuement les autres , que nous appellerons François. Quand les trente François furent venus, ils descendirent à pied et firent à leurs compagnons le commandement dessus dit. Aucuns...þ
ÇáÕÝÍÉ 451 - JD prêts de vivre, de mourir avec le roi, et de mettre corps et avoir à son service ; et requirent délibération de parler ensemble, laquelle leur fut octroyée Item en...þ
ÇáÕÝÍÉ 450 - '.', en la chambre de parlement, par maître Pierre de la Forêt, lors archevêque de Rouen et chancelier de France. Et leur fit requête le dit chancelier, pour le roi, qu'ils eussent avis ensemble quelle aide ils pourroient faire au roi, qui fut suffisant pour faire les frais de la guerre. Et pour ce qu'il avoit entendu que les sujets du royaume se tenoient fortement...þ
ÇáÕÝÍÉ 438 - ... et si Dieu plaît, il se portera si bien envers vous que vous et tout le peuple de France vous en tiendrez bien contents.þ
ÇáÕÝÍÉ 244 - Sire, sachez, pour vous lober (railler); car tous ceux de notre partie et qui ont vu les uns et les autres, se sont par pleine -science à ce accordés, et vous en donnent le prix et le chapelet, si vous le voulez porter.þ
ÇáÕÝÍÉ 128 - Navarre et le prit par la kuene (peau) et le tira moult roide contre lui en disant: « Or sus, traître, tu n'es pas digne de seoir à la table de mon fils. Par l'âme de mon père, je ne pense jamais à boire ni à manger tant comme tu vives.þ
ÇáÕÝÍÉ 243 - Quand ce vint au soir, le prince de Galles donna à souper au roi de France et à monseigneur Philippe, son fils, à monseigneur Jacques de Bourbon, et à la plus grande partie des comtes et des barons de France qui prisonniers estoient.þ
ÇáÕÝÍÉ 244 - Dieu n'a voulu consentir huy votre vouloir; car certainement monseigneur mon père vous fera toute l'honneur et amitié qu'il pourra , et s'accordera à vous si raisonnablement que vous demeurerez bons amis ensemble à toujours. Et m'est avis que vous avez...þ
ÇáÕÝÍÉ 243 - Jacques de Bourbon, monseigneur Jean d'Artois, le comte de Tancarville , le comte d'Estampes, le comte de Dampmartin, le seigneur de Joinville, et le seigneur de Partenay, à une table moult haute et bien couverte; et tous les autres barons et chevaliers aux autres tables. Et servoit...þ

ãÚáæãÇÊ ÇáãÑÇÌÚ