Le Parcival de Wolfram d'Eschenbach et la légende du Saint Graal: étude sur la littérature du moyen âgeA. Franck, 1855 - 228 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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ÇáÕÝÍÉ 183 - Leurs vêtemens sont bien loin de l'ancienne simplicité : des manches larges , des tuniques étroites , des souliers dont la pointe se recourbe , à la mode de Cordoue ; tout enfin nous montre avec évidence l'oubli de toute décence. Une femme se croit parvenue au comble du malheur quand elle passe pour n'avoir point d'amant , et c'est pour chacune un titre de noblesse et de gloire, dont elle est fière , de compter un plus grand nombre de tels courtisans.þ
ÇáÕÝÍÉ 204 - Veneris nurus; sed me magna deum genetrix his detinet oris. iamque vale et nati serva communis amorem.' haec ubi dicta dedit, lacrimantem et multa volentem 790 dicere deseruit, tenuisque recessit in auras. ter conatus ibi collo dare bracchia circum ; ter frustra comprensa manus effugit imago, par levibus ventis volucrique simillima somno.þ
ÇáÕÝÍÉ 182 - ... il régnait une telle décence que la médisance même la plus légère n'attaquait presque aucun mariage. Hélas! combien misérablement, depuis cette époque jusqu'à notre temps, la pudeur et l'honnêteté sont peu à peu déchues dans la conduite des jeunes filles ! Elles ont secoué , en apparence et en effet, la surveillance des femmes âgées ; et dans toutes leurs manières on ne remarque plus qu'une folle gaîté , on n'entend plus que des plaisanteries , on ne voit plus que des roulemens...þ
ÇáÕÝÍÉ 182 - ... dans toutes leurs manières on ne remarque plus qu'une folle gaîté; on n'entend plus que des plaisanteries; on ne voit plus que des roulements d'yeux et du babil. Leur démarche est étourdie, toutes leurs habitudes n'ont rien que de répréhensible. Leurs vêtements sont bien loin de l'ancienne simplicité : des manches larges, des tuniques étroites, des souliers dont la pointe se recourbe à la mode de Cordoue, tout enfin nous montre avec évidence l'oubli de toute décence. Une femme se...þ
ÇáÕÝÍÉ 103 - Le bruit du cheval fit fuir le faucon, et un corbeau s'abattit sur la chair de l'oiseau. Peredur s'arrêta, et, en voyant la noirceur du corbeau, la blancheur de la neige, la rougeur du sang, il songea à la chevelure de la femme qu'il aimait le plus, aussi noire que le corbeau ou le jais, à sa peau aussi blanche que la neige, aux pommettes de ses joues, aussi rouges que le sang sur la neige.þ
ÇáÕÝÍÉ 140 - Venist en terre , par les diz Fist des prophetes anuncier Sa venue en terre , et huchier Que Diex son fil envoieroit Çà-jus aval, et soufferroit Mout de tounnenz , mout de doleurs , Mout de froiz et mout de sueurs. 10...þ
ÇáÕÝÍÉ 200 - Zehant der engel lüte schre 5 „owe, owe, zem dritten we! e stuont diu kristenheit mit zühten schöne: Der ist nü ein gift gevallen, ir honec ist worden zeiner gallen. daz wirt der werlt her nach vil leit.þ
ÇáÕÝÍÉ 58 - Brons o sa fame s'en ala, .L'enfes o Joseph demoura. Lors dist Joseph : « Biaus niés, por voir, Moût grant joie devez avoir ; - 2988 Nostres Sires par son pleisir Vous ha eslut a lui servir Et a essaucier sen douz non, Qu'assez lcër ne le puet on. 2992" Biaus douz niés, cheveteins serez Et vos freres gouvernerez.þ
ÇáÕÝÍÉ 224 - Monseigneur l'évêque de Cornouaille, éveillez-vous, éveillez-vous ; vous êtes là dans votre lit, couché sur la plume molle ; Vous êtes là dans votre lit, sur la plume bien molle, et il y a une jeune fille qui gémit au fond d'un trou de terre dure, Demandant pour sa créature l'huile et le baptême, et l'extrême-onction pour elle-même.þ
ÇáÕÝÍÉ 127 - ... à la doctrine qui se cache sous le voile de ces « vers étranges : » 0 voi ch'avetc gl'intelletti sani Mirate la dottrina che s' asconde Sotto'l velame dei versi strani (2) ! Il) Ginguené, Histoire de la littérature italienne, t.þ