Collection des meilleurs dissertations: notices et traités particuliers relatifs à l'histoire de France, composée, en grande partie, de pièces rares, ou qui n'ont jamais été pub. séparément; pour servir à compléter toutes les collections de mémoires sur cette matière, ÇáãÌáÏ 11 |
ãÇ íÞæáå ÇáäÇÓ - ßÊÇÈÉ ãÑÇÌÚÉ
áã äÚËÑ Úáì Ãí ãÑÇÌÚÇÊ Ýí ÇáÃãÇßä ÇáãÚÊÇÏÉ.
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
accorder amoureuse anciens appelait armes arrêt aseuré assez aurait auteurs avaient avant baptême barons bénéfices cause charges Charles chefs chevaliers chose citer commun comte corps cours d'amour coutume d'autres dames déclaration demandait devait dire doit donner effet enfans enfin faisait famille femmes fiefs filles fils forme française gens gentilshommes guerre Histoire hommes j'ai jouissaient jours juges justice l'abbé l'an l'assurement l'histoire l'un lettres leudes lieu livre lois Louis main maires maison maladie marque mars Mémoires ment mère mort n'avait n'en n'était nation Neustrie nobles noblesse nombre nommé note nouveaux obligés observer ordonné ouvrage paix parens parlement partage particulières passer peine Pepin père personnes peuple porter pouvaient première présent prince priviléges qu'à qu'en qu'un qualité rapporte règne rien rois royaume s'il saint second seigneur serait servi seulement siècle sorciers sorte suivant sujet tenaient terre titre traité trève troubadours trouve usage vassaux voulait Voyez
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 276 - L'on voit assez par ce que je viens de remarquer, que l'usage de la guerre par coutume , avoit esté non seulement en pratique sous nos premiers Gaulois, mais encore avoit esté retenu par les François qui leur succédèrent, et généralement par tous les peuples septentrionaux , qui avec le temps s'établirent si puissamment dans les provinces et les terres qu'ils conquirent dans l'empire d'Occident, qu'on a eu bien de la peine à y donner atteinte , et à l'abolir entièrement. Cependant cette...þ
ÇáÕÝÍÉ 69 - ... en est obscure, les principes vagues, incertains, et qui approchent du visionnaire. Mais il ya des faits embarrassants, affirmés par des hommes graves qui les ont vus, ou qui les ont appris de personnes qui leur ressemblent : les admettre tous, ou les nier tous, paraît un égal inconvénient; et j'ose dire qu'en cela , comme dans toutes les choses extraordinaires et qui sortent des communes règles . il ya un parti à trouver entre les âmes crédules et les esprits forts.þ
ÇáÕÝÍÉ 69 - La théorie en est obscure, les principes vagues, incertains, et qui approchent du visionnaire ; mais il ya des faits embarrassants, affirmés par des hommes graves qui les ont vus ou qui les ont appris de personnes qui leur ressemblent. Les admettre tous ou les nier tous...þ
ÇáÕÝÍÉ 59 - Histoire admirable de la possession et conversion d'une pénitente séduite par un magicien la faisant sorcière et princesse des sorciers au pays de Provence, conduite à la Ste-Baume pour y être exorcisée...þ
ÇáÕÝÍÉ 279 - ... d'en rechercher la réparation dans l'ordre de la justice, ce qu'il enjoignit aux comtes, aux barons, et aux chevaliers d'observer, sous peine de la vie. Ces rigueurs et ces menaces des souverains ne purent pas...þ
ÇáÕÝÍÉ 292 - Jacere regiis guerris durantibus. Ce qui fait voir que l'on a eu bien de la peine à abroger cette espèce de guerre, puisque, pour ne pas choquer absolument la noblesse, on a apporté de temps en temps ce tempérament, qu'ils ne pourroient pas en user durant la guerre du prince (3).þ
ÇáÕÝÍÉ 264 - rapporte quelques exemples à l'égard des parens qui entroient en guerre, ou du moins qui s'interessoient en la vengeance du crime commis en la personne de leur parent, qui est une coutume qui a passé dans les siècles suivans, où non seulement les nobles mais encore les roturiers se sont maintenus dans ce droit, ou plutôt dans cette injuste pratique, comme on peut justifier par une infinité de passages d'auteurs. Ils y estoient...þ
ÇáÕÝÍÉ 221 - ... sacrements de la Pénitence et de l'Eucharistie reçus avec dévotion, des bains qui figuraient la pureté nécessaire dans l'état de la chevalerie, des habits blancs pris à l'imitation des néophytes comme le symbole de cette même pureté, un aveu sincère de toutes les fautes de sa vie, une attention sérieuse à des sermons où l'on expliquait les principaux articles de la foi et de la morale chrétienne...þ
ÇáÕÝÍÉ 173 - René rapporte trois cas, outre le premier, qui touche l'honneur des dames, qui méritent punition: le premier est quand un gentilhomme s'est trouvé faux et mauvais menteur en cas d'honneur ; le second, quand il se trouve usurier ; et le troisième, lorsqu'il s'est rabaissé par mariage, et s'est marié à femme roturière et non noble.þ
ÇáÕÝÍÉ 11 - Pendant qu'il se célébrait, on étendait sur le pavé, au milieu du chœur, un drap mortuaire ; aux quatre coins, on mettait quatre bouteilles du meilleur vin, et, au milieu, une cinquième, le tout au profit des chantres qui assistaient au service.þ