Souvenirs sur Mirabeau et sur les deux premières assemblées législatives |
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amis appelait arriver assemblée assez aurait avaient beau Brissot c'était caractère cause CHAPITRE chargé chose Clavière clergé comité commencement communes connaissait conseil considération conversation côté cour croyait d'autres d'être déclarer décret demander députés devait dire disait discours donner Duroverai écrit état eût faisait fonds force former général Genève gouvernement guerre homme idées j'ai j'avais jouer jour jugement l'assemblée l'auteur l'avait l'esprit laisser législative liaisons liberté lui-même manière ment mesures mettre ministre Mirabeau montrer moyens n'ai n'avait n'en n'était nation nationale Necker noblesse objet ordres ouvrage parler passer passions penser personnes peuple place plaisir plan porte pouvait premier présenter pris projet proposé public publique qu'à qu'un question raison regardait rendait rendre république reste révolution rien royale s'en s'était s'il sais séance semblée sentiment serait servir seul Sieyes société sort souvent suite sujet tenait tion traits travailler trouvé venait voilà voulait voyage voyait
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ÇáÕÝÍÉ 456 - Si ceux qui ont donné ces conseils à notre roi avaient assez de confiance dans leurs principes pour les exposer devant nous, ce moment amènerait le plus beau triomphe de la vérité. L'état n'a rien à redouter que des mauvais principes...þ
ÇáÕÝÍÉ 458 - Sire , nous vous en conjurons au nom de la patrie, au nom de votre bonheur et de votre gloire, renvoyez vos soldats aux postes d'où vos conseillers les ont tirés : renvoyez cette artillerie , destinée à couvrir vos frontières ; renvoyez surtout les troupes étrangères, ces alliés de la nation, que nous payons pour défendre et non pour troubler nos foyers.þ
ÇáÕÝÍÉ 456 - France ne souffrira pas qu'on abuse le meilleur des rois, et qu'on l'écarte, par des vues sinistres, du noble plan qu'il a lui-même tracé. Vous nous avez appelés pour fixer, de concert avec vous, la constitution, pour opérer la régénération du royaume : l'Assemblée Nationale vient vous déclarer solennellement que vos vœux seront accomplis...þ
ÇáÕÝÍÉ 79 - Oui , c'est parce que le nom de peuple n'est pas assez respecté en France , parce qu'il est obscurci, couvert de la rouille du préjugé, parce qu'il nous présente une idée dont l'orgueil s'alarme, et dont la vanité se révolte , parce qu'il est prononcé avec mépris dans les chambres des aristocrates ; c'est pour cela même...þ
ÇáÕÝÍÉ 192 - Deux siècles de déprédations et de brigandages ont creusé le gouffre où le royaume est près de s'engloutir. Il faut le combler, ce gouffre effroyable ! Eh bien ! voici la liste des propriétaires français. Choisissez parmi les plus riches afin de sacrifier moins de citoyens; mais choisissez, car ne faut-il pas qu'un petit nombre périsse pour sauver la masse du peuple ? Allons, ces deux mille notables possèdent de quoi combler le déficit.þ
ÇáÕÝÍÉ 458 - Les députés de la nation sont appelés à consacrer avec vous les droits éminens de la royauté sur la base immuable de la liberté du peuple; mais, lorsqu'ils remplissent leur devoir, lorsqu'ils cèdent à la raison, à leurs sentimens, les exposeriez-vous au soupçon de n'avoir cédé qu'à la crainte? Ah! l'autorité que tous les cœurs vous défèrent est la seule pure, la seule inébranlable; elle est le juste retour de vos bienfaits et l'immortel apanage des princes dont vous êtes le modèle.þ
ÇáÕÝÍÉ 455 - SIRE, vous avez invité l'assemblée nationale à vous témoigner sa confiance ; c'était aller au-devant du plus cher de ses vœux. Nous venons déposer dans le sein de votre majesté les plus vives alarmes ; si nous en étions l'objet , si nous avions la faiblesse de craindre pour nous-mêmes, votre bonté daignerait encore nous rassurer, et même, en nous blâmant d'avoir...þ
ÇáÕÝÍÉ 81 - Ne voyez-vous pas qu'il vous faut le nom de peuple, parce qu'il donne à connaître au peuple que nous avons lié notre sort au sien ; ce qui lui apprendra à reposer sur nous toutes ses pensées, toutes ses espérances. Plus habiles que nous, les héros bataves, [qui fondèrent la liberté de leur pays, prirent le nom de gueux...þ
ÇáÕÝÍÉ 93 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.þ
ÇáÕÝÍÉ 458 - Ne croyez pas ceux qui vous parlent légèrement de la nation , et qui ne savent que vous la représenter selon leurs vues : tantôt insolente, rebelle, séditieuse; tantôt soumise, docile au joug, prompte à courber la tête pour le recevoir. Ces deux tableaux sont également infidèles. Toujours prêts à vous obéir, sire, parce que vous commandez au nom des lois, notre fidélité est sans bornes comme sans atteinte.þ