Matinées littéraires: études sur les littératures modernes, ÇáãÌáÏ 4 |
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admirable aime amour anglais arrive assez beau belle bientôt c'était cæur caractère chercher chose comédie coup cour critique d'abord d'ailleurs d'autres d'être demande dernier devant Dieu digne dire dix-huitième siècle doit donner doute dramatique écrit écrivain enfin esprit eût faisait femme fille fils force forme française génie gloire goût Grecs heureux homme humain j'ai jeune jouer jours juger l'amour l'auteur l'esprit l'histoire l'homme l'un laissé lettres LITTÉRATURE livre loin Louis lui-même main maître malheur manque ment mère mieux monde montre mort n'avait n'en n'était nature nouvelle ouvrage parler passé passion peine pensée père personnage personne peuple peut-être philosophe pièce place poème poésie poète porte pouvait premier présente presque qu'à qu'un Racine raison reste rien roman Rousseau s'est s'il savait scène sentiment serait seul siècle société sorte souvent style succès sujet talent terre théâtre tragédie traits trouve vérité veut voie Voltaire vrai yeux
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ÇáÕÝÍÉ 300 - Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort ; il a commis le plus grand des crimes : il a menti devant les lois.þ
ÇáÕÝÍÉ 294 - Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature; et cet homme ce sera moi.þ
ÇáÕÝÍÉ 465 - ... pourvu que je ne parle en mes écrits ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps' en crédit, ni de l'Opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs.þ
ÇáÕÝÍÉ 191 - C'est le sang des héros , défenseurs de ma loi , C'est le sang des martyrs. — O fille encor trop chère! Connais-tu ton destin? Sais-tu quelle est ta mère? Sais-tu bien qu'à l'instant que son flanc mit au jour Ce triste et dernier fruit d'un malheureux amour, Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée ? Tes frères , ces martyrs égorgés à mes yeux , Touvrent leurs bras sanglants , tendus du haut des cieux.þ
ÇáÕÝÍÉ 143 - Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance. Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du Ciel : vieillards, hommes, femmes, enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le monde se mettait aux fenêtres; si j'étais aux Tuileries...þ
ÇáÕÝÍÉ 304 - Tout est bien , sortant des mains de l'Auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme.þ
ÇáÕÝÍÉ 190 - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire! J'ai vu tomber ton temple et périr ta mémoire ; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans, Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants ; Et lorsque ma famille est par toi réunie, Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!þ
ÇáÕÝÍÉ 294 - Que la trompette du jugement dernier sonne quand elle voudra, je viendrai, ce livre à la main, me présenter devant le souverain juge. Je dirai hautement : Voilà ce que j'ai fait, ce que j'ai pensé, ce que je fus.þ
ÇáÕÝÍÉ 305 - ... tel que l'a fait la nature, pas même l'homme; il le faut dresser pour lui, comme un cheval de manège; il le faut contourner à sa mode, comme un arbre de son jardin.þ
ÇáÕÝÍÉ 191 - Ton Dieu que tu trahis, ton Dieu que tu blasphèmes, Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres : Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...þ