Correspondance |
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académie admiration affez affure afile ainfi ames Anaxagoras auffi befoin bonheur bontés de V. M. c'eft c'eſt caufe chofes confervation confidération confolation connaiffances Crillon crois D'ALEM BERT défire Dieu difait digne dire DURO efprit eſpèce eſt Etats faffe fage faint fais fans doute fanté faurais favez favoir fciences fe font fe trouve fefant femble fens fent fentimens fera Ferney feul fiècle flatte fociété foit fommes fottifes fouhaite fouvent fouverain françaiſe fuccès fuis fujet fuperftition fur-tout géométrie Grange guerre Guibert Helvétius hommes intéreffant j'ofe jéfuites jufqu'à jufte juftice l'académie l'efprit l'Europe laiffer LETTRE long-temps Louis XIV m'a fait l'honneur matière mérite métaphyfique monde n'eft n'eſt néceffaire ouvrage paffer paix paraiffent paraît pauvre penfe perfonne perfuadé philofophie plaifir poëme poffible préfent prefque prends la liberté prince profond refpect propofer puiffe queftion raifon reconnaiffance reconnaiſſance refte Ruffes s'eft s'il Sarmates Sire talens tion V. M. veut Voilà Voltaire
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ÇáÕÝÍÉ 152 - ... me refuser à la proposition que vous me faites de contribuer au monument que lui élève la reconnaissance publique.þ
ÇáÕÝÍÉ 210 - ... qui devrait pourtant le permettre, ne fût-ce que pour dédommager la terre de porter tant d'hommes qui n'ont ni talens , ni vertus. Cependant je ferai encore un nouvel effort d'après les représentations de votre majesté...þ
ÇáÕÝÍÉ 314 - ... dans leur malheur, je ne vois en eux que des gens de lettres qu'on aurait bien de la peine à remplacer pour l'éducation de la jeunesse.þ
ÇáÕÝÍÉ 134 - Frédéric convient avec d'Alembert qu'il est quelquefois permis de voler « si par impossible, dit-il (*), il se trouvait une famille dépourvue de toute assistance et dans l'état affreux où vous la dépeignez, je ne balancerais pas à décider que le vol lui devient légitime : 1° parce qu'elle a éprouvé des refus au lieu de recevoir des secours ; 2°...þ
ÇáÕÝÍÉ 158 - Quant à moi, sire, à qui votre majesté a la bonté de parler aussi de statue , je n'ai pas l'impertinente vanité de croire mériter jamais un pareil monument...þ
ÇáÕÝÍÉ 162 - Or, l'homme étant matière , et pensant et se mouvant , je ne vois pas pourquoi un pareil principe , pensant et agissant , ne pourrait pas être joint à la matière universelle. Je ne l'appelle pas esprit, parce que je n'ai aucune idée d'un être , qui n'occupe aucun lieu , qui, par conséquent , n'existe nulle part. Mais comme notre pensée est une suite de l'organisation de notre corps , pourquoi l'univers , infiniment plus organisé que l'homme, n'aurait-il pas une intelligence infiniment supérieure...þ
ÇáÕÝÍÉ 4 - Sans vous embarrafler en d'abfurdes querelles, Du haut du firmament à vos calculs fournis,. Méprifez tous vos ennemis. Continuez en paix., loin de leurs cris rebelles,. Vos découvertes immortelles , Tandis que leur audace, ameute des pervers, Et qu'à fon tribunal l'idiot vous afligne , Par un fort plus noble & plus digne Vous éclairerez l'univers.þ
ÇáÕÝÍÉ 157 - Je prends la liberté , sire , et j'ose espérer que votre majesté ne m'en désavouera pas , de faire part de sa lettre à tous ceux qui sont dignes de l'entendre , et je ne puis assez dire à...þ
ÇáÕÝÍÉ 142 - ... ou empoifonneur public, ) parce que j'ai eu l'honneur de me battre quelquefois en qualité de général, (ou de bourreau mercenaire ,) parce que j'ai eu l'honeur d'être une efpèce de Roi, ( ou de tyran barbare.þ
ÇáÕÝÍÉ 266 - J'ai reçu un ambassadeur du général dus ignatiens , qui me presse pour me déclarer ouvertement le protecteur de cet ordre. Je lui ai répondu que, lorsque Louis XV avait jugé, à propos de supprimer le régiment de Fitz-James , je n'avais pas cru devoir intercéder pour ce corps , et que le pape était bien le maître de faire chez lui telle réforme qu'il jugeait à propos , sans que les hérétiques s'en mêlassent.þ